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Chapter 7 by Gerald F. Gerald F.

Mes deux perverses me proposent tout simplement de jouer à la pute pour elles!

Vais-je accepter?

Je suis agenouillée sur la moquette, au milieu du salon d'Axelle et Sandra. Mes yeux sont recouverts d'un bandeau, mes bras ramenés dans le dos et attachés par les poignets. Je suis nue à l'exception de mes bas, d'un porte-jarretelles et d'escarpins à talons hauts. J'attends les clients, ceux qui ont payé Axelle et Sandra pour user de moi. J'ai demandé le chiffre à Sandra qui a ricané "Ne t'inquiète pas, tu auras ton pourcentage."
Et la situation m'excite follement, moi mère de famille respectable il y a encore quelques mois, maintenant l'esclave consentante de ces deux petites pestes qui m'offent à qui elles veulent, qui me vendent à qui elles veulent...
Je mouille déjà abondamment, et mon coeur bat à tout rompre, en entendant entrer dans le salon ceux qui m'ont achetée. D'après leur démarche, ils sont deux, un homme et une femme. Je sais qu'ils me détaillent du regard, je me prends à espérer qu'ils ne trouvent pas mon corps trop vieux, mes seins trop lourds. Une des jumelles murmure "on vous laisse", et mes deux nouveaux maîtres s'agenouillent près de moi, l'un devant et l'autre derrière.
C'est la femme qui est devant, je sens sa bouche se poser sur la mienne et la fouiller pendant que l'homme derrière m'embrasse dans le cou. Quatre mains se disputent mes seins. Je sens par moments contre moi des corps déjà nus, plus jeunes que le mien, peut-être trente ans. Je bascule vers l'avant, attirée par la femme, pour me retrouver la tête entre ses cuisses gainées de bas. Elle me caresse les cheveux pour encourager ma langue à la fouiller, pendant que derrière l'homme enfile savamment mon sexe tout préparé. Il me ramone profondément, assez lentement pour me permettre de lécher en rythme jusqu'à ce que sa partenaire gémisse sous ma langue en agrippant mes cheveux. L'instant d'après, je crie en sentant son foutre gicler en moi et l'orgasme m'envahir. Je suis à peine remise, le visage contre terre face à la femme que j'ai fait jouir, que l'un des doigts de l'homme s'enfonce dans mon anus. La femme vient à côté de lui, me léchant les fesses, les écartant doucement pour continuer dans ma raie, puis me faisant gémir en enfonçant sa langue dans mon petit trou. Elle m'abandonne un instant, je la sens penchée vers son compagnon (le branle-t-elle? le suce-t-elle?) avant qu'elle ne guide son membre vers mon orifice. En même temps qu'il pénètre mon cul déjà assoupli à ce genre d'exercice, la femme se glisse sous moi en soixante-neuf et s'attaque à mon sexe d'une langue experte. J'essaie de lui rendre la pareille, difficilement à cause des coups de mandrin qui m'envahissent jusqu'au fond, jouissant bientôt à nouveau sous le double effet de la langue dans ma chatte et de la bite qui décharge dans mon cul.
Mes deux clients me laissent un moment écroulée sur la moquette, puis j'entends l'homme dire "ton petit cadeau", en glissant sous mon porte-jarretelles deux rectangles de papier fin. Des billets de banque!
J'ai bien fait ce pour quoi on m'avait vendue, je suis heureuse. "Pour la peine," m'ordonne la femme, en s'allongeant près de moi, d'une voix qu'il me semble reconnaître, "lèche-moi la figure, tu m'y as mis plein de mouille." Pendant que ma langue s'active, l'homme derrière moi détache mes poignets. Ils me renversent sur le dos, et c'est mon bandeau qui est arraché. Je cligne des yeux, éblouie par le retour soudain de la lumière, avant de me retrouver face aux visages de mon gendre, Vincent, et de ma fille, Angélique.

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