Une petite pipe pour commencer

-Est-ce qu'on vous a déjà parlé de mes méthodes, Emma ? S'enquit John en se levant, avant de faire les cent pas à travers la pièce.

-Non, pas vraiment. J'ai vu l'annonce et je me suis dit : pourquoi pas ?

John se trouvait désormais derrière l'actrice. Loin de se douter de ce qui l'attendait, Emma Watson continuait à parler.

-Du coup, c'est quoi votre truc ? Vous connaissez des gens influents qui peuvent m'aider ? Vous avez une stratégie de communication ? Un truc dans le genre ?

-Pas exactement. Simple curiosité. Est-ce que vous avez une idée de pourquoi votre carrière n'a pas décollé comme vous l'aviez espéré ?

-J'ai refusé de coucher, c'est aussi simple que ça. J'aurais pu jouer dans des blockbusters ces dernières années, mais le producteur me demandait toujours de le suivre dans sa chambre en échange du rôle. J'ai claqué la porte à chaque fois.

-Pourquoi ?

Emma se retourna et adressa un regard incrédule à John.

-Pourquoi ? Peut-être parce qu'une femme ne devrait pas se voir demander des faveurs sexuelles pour avoir une carrière.

-Sans doute, oui. Rassurez-vous, je n'avais pas l'intention de vous en demander.

-Euh, merci ? fit Emma, gênée par cette remarque.

-Je ne vous en demande pas : je vous en ordonne. Maintenant, à genoux, salope !

Emma tressaillit. Instinctivement, elle se leva de sa chaise et se dirigea vers la sortie.

-Bon, visiblement, c'était une erreur de venir ici. Je n'ai rien à faire avec un porc comme...

Emma sentit soudain ses jambes se dérober sous elle, et ses genoux heurtèrent violemment le sol. Elle poussa un gémissement de douleur et jeta un regard effrayé à John.

-Qu'est-ce que...pourquoi je n'arrive pas à me relever ?

-Je t'ai ordonné de te mettre à genoux, tu te souviens ? Oui, j'ai quelques pouvoirs très utiles, tu vas voir. Maintenant, et si on passait aux choses sérieuses ?

Emma vit soudain John défaire sa braguette , descendre son caleçon et dévoiler une bite particulièrement tendue qui pointait vers elle. John s'approcha d'elle et la saisit par le menton.

-Un si joli minois. Ouvre la bouche.

Emma voulut protester, mais elle sentit sa propre mâchoire inférieure se baisser.

-Heuu...hohaan...hou...

-Chut, inutile de perdre du temps. Maintenant, tu vas me tailler une pipe, la meilleure que tu aies faite de toute ta vie. Et n'en gaspille pas une goutte.

Emma vit sa main se déplacer contre son gré et saisir le sexe de John. Elle le masturba quelques instants, mais il était déjà dur comme le roc. Malgré ses protestations intérieures, elle approcha son visage du membre, la bouche ouverte en O, et l'instant suivant, elle sentait toute la longueur du membre s'enfoncer dans sa bouche, jusqu'à ce que le gland heurte le fond de sa gorge. Alors, elle se mit à pomper. Ses yeux horrifiés étaient embués de larmes, mais son corps qu'elle ne contrôlait plus suivait à la lettre les instructions de John. Ses lèvres serraient la bite de John juste ce qu'il fallait, tandis que sa langue parcourait goulûment chaque recoin du membre. Sa main droite caressait les couilles de celui qui la tenait en son pouvoir. L'actrice était terrifiée. Qui était ce John ? Et pourquoi ne parvenait-elle pas à se libérer de son emprise ?

-Hmmmm...émit-elle plaintivement.

-Chut, fit John en lui caressant les cheveux. Tu t'en sors très bien. Tiens, si tu t'ennuies, tu n'as qu'à te caresser le clito en même temps.

La main gauche d'Emma se glissa soudain sous sa jupe et sa culotte. Elle se mit à gémir. Malgré l'horreur qu'elle éprouvait, elle ne pouvait pas s'empêcher de ressentir du plaisir. Les larmes coulaient désormais le long de ses joues. Non ! Elle devait résister.

Soudain, sans prévenir, John lui attrapa les cheveux à l'arrière du crâne et la tira violemment dans sa direction, jusqu'à ce son gland se mette à presser le fond de sa gorge, lui coupant la respiration.

-Nggg...

-Du calme, c'est bientôt fini.

John déchargea en elle sans prévenir. Emma eut un haut le cœur, recrachant du sperme par les narines. Finalement, John relâcha son emprise sur ses cheveux, et la jeune femme s'effondra à même le sol, respirant bruyamment, sans arrêter de se masturber. Ses respirations ressemblaient plus à des halètements, mais elle parvint tout de même à articuler quelques mots :

-Qui...êtes...vous...pourquoi...vous...faites ça ?

-Je m'appelle John Doe. Et c'était juste pour faire un peu mieux connaissance. Maintenant, passons aux choses sérieuses : ta carrière.