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Chapter 4 by zbloutch zbloutch

Que lui fait John ?

Son animal de compagnie

-Laissez-moi partir ou vous le regretterez.

L’actrice nue s’approchait de John avec un air menaçant. Ce dernier se rappela qu’elle avait fait l’armée et décida de prendre la menace au sérieux.

-Vous êtes fâchée. C’est à cause de vos vêtements ? Tenez, je vous en donne de nouveaux.

John claqua des doigts et l’instant suivant, une ceinture de cuir noir se matérialisa autour de la taille de l’actrice. Une lanière de cuir reliait l’avant et l’arrière en passant entre les jambes, reliée à deux vibromasseurs, tous deux désormais profondément enfoncés dans sa chatte et son cul. Prise de court par cette invasion soudaine de son corps, Gal perdit soudain son expression de colère et tomba à genoux en portant la main à son entrejambe.

-Qu’est-ce que…enlevez-moi ça ! rugit-elle en tournant un regard furieux vers John, qui se tenait debout à côté d’elle, la surplombant d’un air moqueur.

-Quoi ? Je trouve que ça te va très bien. Qu’est-ce que tu en penses ? C’est un appareil de mon invention, tu sais ? C’est un peu inconfortable comme ça, mais tu sais, d’ici quelques semaines, tu te demanderas comment tu as pu vivre sans.

-Quelques semaines ? Espèce de tordu, tu vas m’enlever ça tout de suite sinon…

Voyant que Gal s’apprêtait à se relever pour se jeter sur lui, John tira une petite télécommande de sa poche et appuya sur un bouton. Soudain, l’actrice s’effondra à nouveau à même le sol ou elle se tordit de douleur, le visage figé dans une grimace de souffrance, criant à plein poumons. Quand John relâcha le bouton, les cris cessèrent et l’actrice jeta un regard hagard aux environs, le corps tremblant, couvert de sueur.

-Efficace, hein ? Une bonne décharge électrique pour te faire comprendre quand tu fais des bêtises. Tu ne recommenceras plus hein ? Rassure-toi, il y a deux fonctions. Quand tu es gentille avec moi, je peux faire ça.

John appuya sur un autre bouton, et l’instant suivant, les deux vibromasseurs plantés dans l’actrice se remirent à vibrer, mais cette fois-ci, d’une autre manière.

John vit soudain les yeux de Gal Gadot rouler dans leurs orbites, alors que son expression changeait instantanément. Elle tomba à nouveau par terre, cette fois-ci en poussant de longs gémissements de plaisir. John vit ses tétons nus durcir, alors qu’elle se tortillait, trahie par son corps qui en réclamait plus.

-Haaaaaaan…haaaaan…

-La carotte et le bâton. Y a pas mieux pour dresser les animaux comme toi.

John avait relâché le bouton, et Gal reprenait peu à peu ses esprits. Tremblant encore sous le coup du plaisir qu’elle avait ressenti, plaisir décuplé par son contraste avec la douleur abominable qu’elle avait subie juste avant. Finalement, elle parvint à bafouiller :

-Les…les animaux ? Mais je ne suis pas…

-Chut, rappelle-toi comment ça s’est terminé la dernière fois que tu m’as provoqué.

John fit mine d’appuyer à nouveau sur le bouton redouté. Gal recula précipitamment en baissant misérablement la tête.

-Je vois, on commence à apprendre. Enfin, je vais te faire taire avant que cette jolie bouche ne t’amène encore des problèmes.

John claqua à nouveau des doigts et l’instant suivant, Gal ne parvenait plus à fermer la bouche. Un bâillon venait d’y apparaître, attaché à deux lanières de cuir qui passaient autour de sa tête.

-Mmmmmh ! s’écria-t-elle. Voilà. Un animal ne parle pas, de toute façon.

John entendit soudain une sonnerie et baissa les yeux en direction des vêtements en charpie de l’actrice. Il se pencha et en tira un téléphone portable. Ce dernier sonnait, tandis qu’un mot apparaissait à l’écran.

Chéri

-C’est ton mari ? s’enquit John. Comme c’est mignon.

Il claqua à nouveau des doigts, faisant apparaître un collier en cuir noir autour du cou de Gal, attaché à une laisse dont l’extrémité était fermement enroulée autour du pied d’un meuble à proximité, empêchant Gal de s’approcher de John. Ce dernier décrocha et mit le haut-parleur pour que Gal n’en perde pas une miette. Il entendit une voix grave à l’autre bout du fil :

-Chérie, c’est moi. Tu ne devineras jamais ce que j’ai prévu pour ce soir.

-Gal n’est pas là.

L’interlocuteur marqua un temps d’arrêt, surpris.

-Qui est à l’appareil.

-Un ami de votre femme.

Un nouveau silence suivit cette réponse.

-Ou est ma femme, répéta la voix avec un ton plus impatient.

-Mmmmmmh ! tenta de crier Gal à travers son bâillon, sans parvenir à se faire entendre. Désormais, ses joues étaient couvertes de larmes, les yeux écarquillés d’horreur, alors qu’elle essayait désespérément d’appeler son mari à l’aide.

-Votre femme ? répéta John. Mais elle vous a quitté, vous ne vous rappelez pas ?

Gal s’attendait à ce que son mari entre dans une rage folle devant celui qui l’avait enlevée et qui désormais se moquait ouvertement de lui. Au lieu de ça, elle l’entendit marquer une hésitation, avant de répéter machinalement.

-Elle m’a quitté.

-Oui, parce que vous n’étiez plus assez bien pour une star comme elle. Il lui fallait plus, vous voyez.

-Il lui fallait plus.

-Cette dinde superficielle vous a même trompé avec la moitié d’Hollywood. Vous vous en rendez compte.

-Oui, fit le mari avec de plus en plus de colère dans sa voix. Elle a osé.

-Vous la haïssez.

-Je la hais.

-Dites-le plus fort.

-Je la hais ! Je veux la faire payer.

A présent, Gal pleurait à chaudes larmes en voyant l’homme de sa vie se faire retourner le cerveau par son ravisseur avec une telle facilité. Elle voulut encore protester, mais seul un gémissement étouffé se fit entendre. Un mélange de larmes de morve et de salive passant entre le baillon et ses lèvres coulait désormais sur son menton, tandis que ses respirations se faisaient plus bruyantes.

-Mais vous allez vous venger, poursuivit John.

-Oui, rugit le mari.

-Ce soir, vous allez aux putes. Vous allez baiser toutes celles que vous croiserez. Chaque fois, vous vous filmerez en train de les baiser, et vous enverrez la vidéo à Gal, pour qu’elle voie ce qu’elle a perdu.

-Oui…c’est parfait ! Elle va pleurer pour le reste de sa vie.

-Ca, c’est parlé.

John finit par raccrocher, le sourire aux lèvres. Il claqua des doigts et soudain, les quatre murs de la pièce se couvrirent d’écrans géants.

-Je vais rentrer chez moi, fit John avec un regard amusée en direction du visage couvert de larmes de Gal. Je vous laisse ici. Il fait froid et le sol est dur, mais bon. Il ne faut pas trop gâter ses animaux. Ces écrans diffuseront en boucle chaque vidéo que ton mari t’enverra. Et tu ne pourras pas faire autrement que de regarder, sans en perdre une miette. Ah oui, chaque fois que tu essaieras d’enlever ton bâillon ou ta ceinture, ou de sortir de cette pièce ou de causer des problèmes, tu sais ce qui t’attend.

John appuya brièvement sur le bouton, ce qui suffit à faire hurler l’actrice à travers le bayon, tandis qu’elle se roulait par terre de douleur.

-Hmmmm…hmmm…hmmmm… parvint-t-elle à émettre, ce qui était probablement une supplique pour qu’il ne recommence pas.

-C’est bien ce que je pensais, acquiesça John. Allez, à demain. Ton vrai dressage commencera.

La suite pour Gal

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