Scarlett la nympho

-Je, commença Scarlett, oui…je ne sais pas ce qui…

L’actrice se figea soudain en croisant le regard de John. Ce dernier réprima un sourire en voyant son regard s’embraser soudain de désir, tandis que les yeux de la star parcouraient chaque centimètre carré du corps de John.

-Est-ce que tout va bien ?

-Oui, oui… fit Scarlett, l’air absente, tandis que son regard s’attardait sur l’entrejambe de John. Qu’est-ce que…je faisais…encore ?

-Notre entretien était fini et nous allions nous quitter, je crois.

-Non ! s’écria soudain Scarlett, l’air paniqué.

-Quoi ? demanda John en feignant la surprise. Nous avions pourtant terminé…

-Je ne veux pas partir. Vous…je vous…j’ai besoin de vous.

John haussa un sourcil.

-Besoin de moi ?

Le visage de Scarlett montrait une lutte qui se déroulait en elle, comme si une part d’elle essayait de la ramener à la raison, de lui dire que quelque chose n’allait pas. L’actrice n’en commença pas moins à marcher en direction de John. Ce dernier décida de jouer les innocents encore quelques instants et se mit à reculer, au grand dam de Scarlett.

-Je…je ne sais pas ce qui se passe…vous n’avez jamais eu envie de…vous savez…avec Scarlett Johansson en personne ?

-Envie de quoi ? fit John innocemment.

-De me baiser ! fit Scarlett, presque en criant. Des millions d’hommes rêvent que mon corps soit à eux, pas vous ?

-Madame, je suis quelqu’un de professionnel, rétorqua John avec une expression aussi sérieuse que possible. Je ne couche pas avec mes clientes.

-Et si c’était moi qui le demandais, demanda Scarlett sur un ton pressant.

La star continuait de marcher en direction de John, l’air de plus en plus désespéré.

-Je vois. Eh bien, j’imagine que je pourrais vous rendre ce service. La question est : que pouvez-vous m’offrir en échange.

Une expression incrédule apparut sur le visage de Scarlett.

-Ce que je peux vous offrir ? Tout ! Regardez.

Scarlett déboutonna sa robe à la hâte, puis retira son soutien-gorge, avant de baisser sa culotte le long de ses jambes. Il fallut beaucoup d’efforts à John pour continuer de feindre l’indifférence. Le corps parfait de Scarlett ne semblait qu’attendre qu’il vienne en profiter. L’actrice saisit sa culotte et la lança en direction de John. Ce dernier la rattrapa au vol et la renifla rapidement. Déjà mouillée. Voilà qui était prometteur.

Scarlett heurta soudain un mur invisible mis en place par John quand il s’était rendu compte être dos au mur.

-Qu’est-ce que…non ! Ne me faites pas ça, John ! J’ai besoin de vous !

-Alors, négocions.

John défit sa braguette et sortit sa bite en érection, la mettant bien en évidence. Scarlett écarquilla les yeux, bouche bée, devant le membre, et voulut l’attraper de ses mains graciles, mais le mur invisible l’en empêcha, sa main s’ouvrait et se refermait à quelques centimètres du gland de John. Scarlett se mit soudain à pleurer et tomba à genoux.

-J’en ai tellement besoin, gémit-elle en sanglotant. Je ne sais pas ce qui m’arrive. Je sais que je vous connais à peine, mais j’ai besoin de m’offrir à vous. S’il vous plait.

Pendant qu’elle parlait, sa main gauche avait gagné son entrejambe, et deux de ses doigts s’introduisaient désormais en elle, faisant des va et viens rapides, pendant qu’elle gardait les yeux rivés sur la verge de John, sans cligner des paupières.

-S’il vous plait, souffla-t-elle d’une voix à peine audible, sans arrêter de se masturber.

-Très bien, j’accepte. Mais à une seule condition.

-Laquelle ? fit tout de suite Scarlett, visiblement prête à accepter n’importe quoi.

-Vous voyez les contrats sur mon bureau ?

Scarlett tourna la tête et vit plusieurs tas de papiers qui ne s’y trouvaient pas une minute auparavant.

-Dans le premier, vous vous engagez à me verser la totalité de l’argent que vous possédez, et à me transférer toutes vos autres possessions. Signez-le.

John avait pensé que la présence d’esprit qui restait à l’actrice la ferait protester, ne serait-ce qu’une minute ou deux, mais Scarlett bondit sur ses pieds et courut vers le bureau ou elle s’empressa de signer le contrat qui la rendait pauvre et sans domicile.

-Le deuxième stipule que vous devenez ma propriété exclusive. J’ai tous les droits sur vous et vous ne pouvez prendre aucune décision sans mon accord. Vous n’existez plus à l’état civil et n’avez plus aucun droit, seulement des obligations envers votre propriétaire.

Scarlett signa aussitôt. John sourit : voilà qui allait être palpitant.

-Parfait. Viens, Scarlett.

L’actrice courut en direction de John comme si sa vie en dépendait, franchissant le mur invisible que John avait installé auparavant, avant de se retrouver à sa hauteur.

-Maître, souffla-t-elle. Je ferai n’importe quoi pour rester avec vous.

-Alors commençons tout de suite.

John passa ses mains sous les fesses de Scarlett et la souleva comme si l’actrice n’était qu’une plume, avant de la plaquer brutalement contre le mur. Les halètements de Scarlett indiquaient qu’elle n’y voyait pas d’inconvénient. John se concentra quelques instants et sentit sa propre masse musculaire augmenter, histoire d’être sûr de ne pas la laisser tomber avant d’avoir fini.

-S’il vous plait, maître, souffla Scarlett.

John exauça son souhait en s’enfonçant d’un coup au plus profond de sa chatte. Scarlett cria, tout en enroulant ses jambes galbées autour de la taille de John. Ce dernier continuait de la pénétrer, tandis que le visage de Scarlett se transformait en masque d’extase pure. John ne put s’empêcher de rire. Elle venait de balancer sa vie entière, mais tout ce qui lui importait en cet instant précis, c’était de se faire troncher par lui. Les jours à venir s’annonçaient très intéressants.

-Oui…oui…ouiiiii…ne t’arrêtes pas, John, ne t’arrête jam…mmmmh…

John la fit taire d’un baisser, faisant danser sa langue avec la sienne, tandis que sa main gauche se mettait à lui pétrir le sein, son pouce s'attardant autour de son téton. L’autre main continuait de soutenir son fessier. Le dos contre le mur, les jambes autour de John, le corps de Scarlett n’était désormais plus qu’un jouet entièrement consacré au plaisir de John. Quand ce dernier déchargea enfin en elle, une quinzaine de minutes plus tard, les jambes de l’actrice reprirent lentement contact avec le sol, tandis qu’elle s’efforçait de reprendre ses esprits, le cerveau encore embrumé par le plaisir qu’elle venait de ressentir.

-Ma fois, je pense que je vais te garder à l’essai, fit John avec un sourire.

Le visage de Scarlet se mit à rayonner de joie.

-Merci maître ! Vous pouvez tout me demander, absolument tout.

-C’est bien ce que nous allons voir.