Robert seul

Robert reprit lentement conscience, une douleur tenace lui transperçant le crâne. Désorienté, il chercha à comprendre où il était. En ouvrant les yeux il vit qu’il était dans une salle sans fenêtre et éclairée par des bougies. Si le sol de pierre blanche était nu, les murs étaient décorés de mosaïques délicates et complexes à l’exception d’un seul qui était caché par une lourde draperie.
Il se rendit rapidement compte qu’il était attaché sur une chaise, complètement nu. Paniqué il tenta d’appeler à l’aide.

« Au secours !!! Aidez-moi !!! Pitié !!! Où sont ma femme et mes enfants ? »

Il cria tant qu’il put mais personne ne lui répondait. Sa vision floue finit par redevenir nette et il la vit. Djamila, la jeune danseuse dont ils avaient pu admirer la performance un peu plus tôt, se tenait un peu en retrait, devant une porte fermée. Robert tenta de l’appeler :

« Pitié aidez-moi j’ai peur pour mes filles et… »

Le reste mourut dans sa gorge quand Djamila laissa tomber le voile qui la couvrait. Elle était nue, son corps aux courbes voluptueuses offert à la vue de Robert . Djamila regardait Robert en mordillant doucement sa lèvre, ses mains glissant le long de ses hanches généreuses. Robert ne pouvait pas détourner les yeux de la jeune maghrébine et malgré sa situation il sentait une excitation grandissante s’éveiller en lui. Son regard trainait ses les seins ronds et lourds de Djamila, sur son ventre plat et plus bas sur son sexe épilé. Toujours souriante, Djamila recommença à danser une nouvelle fois, mais d’une façon encore plus sensuelle et langoureuse que dans le hangar. Ses mouvements de hanches étaient presqu’obscènes et ses seins ondulaient doucement à chaque pas.

Robert protesta à peine quand elle posa ses lèvres sur les siennes et glissa sa langue dans sa bouche. Il sentit qu’elle glissait deux ou trois cachets dans bouche mais avant de pouvoir le recracher la jeune femme lui couvrit la bouche et lui pinça le nez. Incapable de respirer, Robert fut forcé d’avaler les cachets. Alors qu’elle se décollait de lui il ne put retenir un « salope » auquel elle répondit d’un haussement d’épaule. Djamila recommença alors à danser tout en caressant son corps.

Au fur et à mesure que la danse continuait, Robert sentait sa queue qui durcissait et se tendait de plus en plus. Djamila revint près de lui, frôlant d’abord discrètement le corps du père de famille pour finir par danser coller contre lui. Elle jouait avec ses seins, avec ses mains, caressant le sexe de l’homme du bout du doigt, pressant ses seins contre lui. La jeune maghrébine se retourna avec fluidité, exagérant les mouvements de son corps comme pour hypnotiser Robert avec son bassin. Puis elle vint coller son bassin contre celui de Robert , prenant sa queue entre ses fesses. Elle commença à le branler langoureusement avec ses fesses et très rapidement elle se mit à gémir de plaisir en se cambrant en arrière.

Robert avait l’impression de devenir dingue ! Sa queue semblait brûlante de désir, il entendait son cœur battre à tout rompre dans ses oreilles et sa tête commençait à tourner. Il n’avait qu’une envie, c’était d’enfourner sa bite tendue dans la chatte de cette salope de maghrébine. Ses idées étaient de moins en moins claires et il tira de toutes ses forces sur ses liens en poussant un grognement de frustration quand Djamila s’écarta de lui. Il crut par contre qu’il allait s’évanouir de plaisir quand elle referma sa bouche sur sa queue. La jeune femme entreprit de lui tailler une pipe longue et toute en douceur, ce qui eut pour effet de l’exciter encore plus. Tous les muscles de son dos se tendirent quand elle entreprit de lui lécher les couilles tout en caressant sa verge d’une main. D’une dextérité incroyable, elle parvient à augmenter l’excitation de Robert sans pour autant le laisser jouir. Robert quant à lui n’en pouvait plus, il grognait à chaque coup de langue, incapable de réfléchir clairement tant il avait envie de jouir dans cette chienne.