Oui!

Me voilà donc, par un beau jour d'été, accompagnant à la mairie Bertrand et Edith, très belle dans son tailleur-minijupe blanc cassé. Je suis un peu perdue au milieu de leurs familles, Jérémie accaparé par des filles de son âge, puis pendant la réception j'engage la conversation avec une jeune femme blonde d'environ vingt-cinq ans, vêtue d'une petite robe rouge:
"C'est toi Marie-Claude? Je suis Axelle, la nièce d'Edith."
On parle de choses et d'autres, mon regard ne pouvant s'empêcher d'être attiré par les seins arrogants soulignés par le décolleté en goutte d'eau de sa minirobe. De son côté, j'ai l'impression qu'elle détaille mon corps à travers le tailleur qu'Edith a voulu assorti au sien.
"Tu es très belle," sourit-elle. "Ma tante a vraiment bon goût."
J'estime inutile de nier.
"Tu sais?"
"Oui, ma tante me raconte beaucoup de choses. Elle m'a dit ce que vous faisiez ensemble."
Je ne peux m'empêcher de la provoquer: "Ensemble... et avec d'autres?"
"Oui, et mon nouvel oncle n'a pas été le seul que vous vous soyez partagé," répond-elle en piquant un léger baiser sur mes lèvres, sans que je résiste. Nous sommes dans un coin écarté du jardin, et il n'y a aucun invité dans notre champ de vision. "Et," continue Axelle, "qu'est-ce que tu as préféré, les hommes ou les femmes?"
"Je n'ai pas encore connu assez de femmes pour pouvoir juger." Et sur cette réponse, c'est moi qui l'embrasse, cette fois en un baiser profond et prolongé, ma langue enfoncée dans sa bouche. Nos corps se serrent l'un contre l'autre, nous ne séparons nos lèvres qu'aux limites de l'essoufflement.
"On peut nous voir ici. Le temps de dire au revoir à Edith et à mes parents, et je te rejoins," me glisse-t-elle. Je me dis que voilà une façon cavalière entre toutes de quitter une réception, et qu'il faudrait peut-être moi aussi aller dire au revoir à Edith... Et puis non, elle se doutera bien des raisons de mon départ. Je suis certaine que mon adorable corruptrice avait tout prévu de ma rencontre avec sa nièce!
J'attends Axelle à côté de sa voiture, où elle me rejoint bientôt. A ma surprise, elle a changé de tenue, et porte maintenant une robe longue et noire à bretelles, largement fendue sur le côté. Sans échanger un mot, nous nous embrassons à nouveau profondément, collées l'une contre l'autre, elle me renversant presque sur le capot de la voiture.
"Tu as changé de robe?" lui demandé-je lorsque j'ai un peu repris mon souffle.
"Non, c'est toujours la même," répond-elle en prenant un air étonné. Sa voix me paraît avoir quelque peu changé.
"Oui, tu dois confondre," renchérit une autre voix en écho. Je sursaute en apercevant Axelle... une autre. Non, c'est bien, dans sa robe rouge, celle qui m'a séduite tout à l'heure dans le jardin.
"Je te présente Sandra, ma soeur. Bon, on y va?"
"Quelle famille!" me dis-je en suivant mes deux charmantes jumelles jusque chez elles. Toutes deux semblent partager, outre leur beauté blonde aux seins marmoréens, le goût des femmes et le souci de ne pas perdre de temps. A peine arrivées dans l'appartement qu'elles partagent, elles m'entraînent dans une chambre et me renversent sur le lit. Pendant qu'Axelle couvre de baisers mon visage et mon décolleté, Sandra défait ma jupe déjà bien retroussée par ma culbute. C'est l'été, je ne porte ni collant ni bas, mais seulement une petite culotte qu'elle fait vite disparaître. La bouche de Sandra m'assaille déjà entre les cuisses quand Axelle déboutonne mon tailleur, dégrafe mon soutien-gorge, caresse et mordille mes seins, revient sur mon cou et mon visage. Sandra, avec sa langue sur mon petit bouton et ses doigts profondément enfoncés dans ma chatte, m'a amenée au bord de l'orgasme quand les deux jumelles échangent leurs places. Et ce sont les caresses d'Axelle qui me font jouir dans les bras de sa soeur...
"A ton tour," décide Sandra en envoyant promener sa robe et en étendant son corps nu sur le dos. Je m'agenouille devant elle, plonge de la bouche et des doigts entre ses cuisses, lui arrache ses premiers gémissements pendant qu'Axelle, visiblement excitée par ma position, introduit sa langue dans ma raie, allant de plus en plus profond et finissant par pénétrer mon anus. Elle s'écarte un moment de nous, et je tourne brièvement la tête pour la voir prendre un godemichet de taille impressionnante.
"Continue," ordonne Sandra en ramenant ma tête entre ses cuisses. Sans plus rien voir, je sens Axelle qui enfile l'objet dans ma chatte et lui imprime un mouvement de va et vient, pendant que son doigt me ramone le petit trou. Lorsqu'elle retire le gode pour l'approcher de mon orifice anal, j'ai un mouvement involontaire de résistance, mais Sandra me tient fermement par les cheveux.
"Attention, je vous en prie, c'est la première fois!"
Mes deux jumelles semblent très excitées de savoir que leur gode va entrer là où aucun sexe d'homme n'est passé. Je suis rassurée de sentir l'objet pénétrer facilement mon anus assoupli et lubrifié par les caresses d'Axelle. Les mouvements qu'elle fait faire au gode réveillent mon plaisir, et je jouis en même temps que je fais jouir Sandra.
C'est ensuite à Axelle que je dispense mes caresses, avant qu'elle ne me tende le gode qu'elle avait retiré de mon cul.
"A toi de te servir de ça," décide-t-elle. "Montre-nous comment tu te fais jouir."
Obéissante, je m'assieds devant elles, cuisses généreusement écartées, m'enfile l'engin dans la chatte et commence à me ramoner avec, tout en suivant les ordres de mes deux amantes: "Pince-toi les tétons... Touche-toi le clito maintenant."
Nues toutes les deux sur le lit, Axelle et Sandra ne me quittent pas des yeux et, lorsqu'enfin je râle de plaisir sous l'objet de caoutchouc, se regardent en souriant et échangent un baiser qui n'a rien de sororal.
"Elle fait vraiment tout ce qu'on veut," constate Sandra lorsque leurs lèvres se séparent.
"Tu ferais certainement plus, si on te l'ordonne," me dit Axelle en se tournant vers moi. "Tu reviendras chez nous? Mais il faudra faire tout ce qu'on te dira!"