Marie

« Honneur aux jeunes. Marie » appela Marc en détachant cette dernière.

Elle se leva, émue. Son regard croisa celui de Paul, et la tendresse du regard de ce dernier lui donna du baume au c?ur. Ils n'avaient rien d'un couple libertin, mais Marie savaient qu'il était dans leur intérêt à tous que ces hommes apprécient son striptease. Elle avait les cheveux châtains clair, les yeux marrons, des formes élégantes. Elle portait le tailleur emprunté à sa mère avec lequel cet après-midi même elle avait passé un entretien pour un stage.

Elle remplit d'air ses poumons et se plaça de profil, par rapport à Marc, de façon à mettre en évidence son 80B et à éviter de croiser les regards du chef des malfrats.

« Ne pense à rien », se dit-elle.

Elle laissa glisser sa veste le long de ses bras, puis la laissa tomber à terre.

Tournant sur elle-même, son regard croisa à nouveau celui de Paul, qui semblait lui dire « vas-y, continue. » Elle déboutonna sa jupe qui tomba au sol, puis chassa ses escarpins de ses pieds. Enfin, elle s'allongea à même le sol, levant les jambes et, souple comme elle était, accompagnant ses collants avec ses mains du haut de ses cuisses à la pointe de ses pieds. Les trois malfrats étaient subjugués.

Elle fit trois pas en avant, puis se retourna à nouveau. Lorsqu'elle aurait enlevé son chemisier elle serait en sous-vêtements devant tout ces inconnus. Cette pensée la fit hésiter, mais elle se reprit. Elle ôta un à un les boutons de son chemisier, qu'elle fit ensuite simplement glisser le long de ses bras, comme sa veste.

Le plus dur était à venir. Elle se tourna vers Paul, dos à Marc, les yeux remplis de larmes. Elle était tétanisée

« On dirait que la demoiselle a besoin d'aide, fit Marc.

- Je vais l'aider », répondit Sam.

Il vint devant Marie, toujours tétanisée, et passa la main dans son dos et lui dégrafa son soutien-gorge. Elle devint écarlate et baissa les yeux lorsqu'il tomba au sol. D'une main sous son menton, Sam la força à lever la tête et à le regarder.

« Il n'y a vraiment pas de quoi rougir, belle comme vous êtes, continua Sam !

Il recula.

• Tournez-vous, que tout le monde puisse admirer vos tétons admirables.

Elle s'exécuta, et tout le monde put voir ses seins en forme de poire et aux aréoles foncées. A sa surprise, les regards qu'elle croisait, otages ou malfrats, exprimaient tous une grande sympathie.

- Voulez-vous de l'aide pour votre culotte ? » demanda Sam.

Cette fois, Marie n'hésita pas, et fit simplement glisser sa culotte le long de ses jambes, révélant sa chatte masquée par une légère toison châtain clair. Elle était entièrement nue, mis à part la croix qu'elle portait autour du cou. Tout les regards étaient fixés sur elle. Elle était à la fois gênée et gagnée par un sentiment de fierté d'avoir réussi.

« Je crois que, même avec un petit raté au moment fatidique, la jeune demoiselle vient de placer la barre très haut, dit Marc.

- Pour motiver les suivantes, je précise que nous trois, ainsi que la gagnante, nous servirons de la cravache sur la perdante. »

Kevin rattacha les mains de Marie dans son dos, puis lui fit signe de s'asseoir, tandis que Marc appela la suivante.