Oui, tu te libères

Tu sens que les liens ont été bien serrés. Mais tu ne te décourages pas. Il faudra le temps qu’il faut, mais tu feras payer les crimes qu’ils ont commis à ses ordures !

Tu gonfles les muscles, et tentes d’exploser les liens qui te retiennent, tu sens à mesure que tu t’épuises tu sens que les cordes commencent à se relâcher.

Pendant que tu essaies de te libérer, les deux soldates finissent leur œuvre de destruction. Bientôt il ne reste plus rien du village, si ce n’est des flammes et des cendres.

La nuit est tombée, mais tu ne dors pas. Tu es trop énervé et furieux… tu te décarcasses pour te sortir de cette situation, quand soudain une corde lâche ! Ce n’est que la première, mais cela te facilite le travail. Bientôt, elles tombent les unes après les autres, et finalement au milieu de la nuit tu es libre !

Le village n’est plus, il ne reste qu’une seule hutte encore intacte. Peut-être les soldates sont à l’intérieur, tu t’approches silencieusement, si elles dorment, tu pourras les tuer facilement, à mesure que tu t'avances, tu entends des cris. Peut-être ont-elles fait un prisonnier et le torturent-elles ?! Tu regardes par la fenêtre : elles ne dorment pas, elles ne torturent pas… Bien au contraire ! Les deux femmes sont nues, et elles sont dans le même lit à faire des cochonneries !

Incroyable ! Après avoir détruit ton village, voilà qu’elles se donnent du bon temps ! Tu les entends s’exclamer :

« Vas-y plus vite ! Je ne sens rien !

— Hum, non continue comme ça, moi je sens bien ta chatte... Oh, mais t'es super humide hein, petite salope...

— Oui, ah putain, comme je voudrais une bonne bite !

— Ohhhh, oui ! Frotte mon clito, j’ai la chatte qui trempe… »

Tu sens d’ailleurs ta bite grossir à ce spectacle, tu en as honte… Ces salopes ! Non seulement elles ont anéanti ton village, mais elle le profane par leur dépravation ! Il faut que tu fasses quelque chose !