les deux femmes violées se réconfortent mutuellement

Marie rampa jusqu'à sa compagne toujours prostrée à terre et la prit dans ses bras.

"C'est fini, ils sont partis" murmura-t-elle en déposant de petits baisers sur le visage baigné de larmes de Christelle.

"Ils vont revenir" sanglota la jeune femme.

"N'y pense pas." Marie serra sa compagne contre elle. Leurs seins, leurs ventres, leurs touffes se touchaient. Malgré la douleur physique et le sentiment de souillure qu'elles éprouvaient après ce viol collectif, Marie sentit qu'elles mouillaient toutes les deux.

"Tu sais," souffla-t-elle, "j'ai vraiment adoré ce que tu m'as fait tout à l'heure."

Elles avaient trop besoin de se réconforter, d'oublier entre femmes ce que leur avaient fait subir les trois hommes. A nouveau, leurs lèvres se rencontrèrent, elles firent jouer leurs langues l'une contre l'autre. C'est Christelle qui prit l'initiative de frotter son bas-ventre contre celui de Marie. Les deux femmes s'aimèrent longuement avant de gémir leur orgasme en même temps, au moment précis où la porte...