oui, Christelle

Eva essayait d'éviter le regard de sa fille, mais celle-ci la rassura d'un sourire.
"Relax, maman," lui dit-elle, "tout va bien se passer. Tu as déjà léché du minou, au moins ?"
"Jamais de la vie, et j'espère bien que toi non plus !"
"Euh, si, une fois. Laisse-moi faire, tu feras pareil après."

Stupéfaite à l'idée que sa fille avait déjà eu une expérience lesbienne, Eva se laissa allonger sur le comptoir de la bijouterie. Elle ne résista pas davantage lorsque Christelle posa ses mains sur l'intérieur de ses cuisses gainées de bas, pour les écarter et révéler les lèvres intimes de sa mère dont elle approcha sa bouche. A la grande honte d'Eva, son sexe était déjà moite. Christelle déposa un baiser sur la fente avant de faire aller et venir sa langue d'une commissure à l'autre, remontant jusqu'au clitoris où le léchage s'attardait à chaque fois.

Eva sentit le plaisir monter en elle. Son mari avait quelquefois pratiqué le cunnilingus avec elle, mais elle était forcée de se dire que le talent de sa petite vicieuse de fille était sans commune mesure avec celui de son père. Elle caressa d'une main les cheveux de Christelle en lui murmurant :
"C'est bon, ma chérie, continue."

Les mouvements de langue s'accélérèrent tout en s'enfonçant de plus en plus profondément dans le sexe d'Eva. La mère de famille commença à gémir bruyamment, pour la plus grand excitation des bandits qui admiraient le spectacle, tout en gardant un oeil sur Sandra qui continuait à bouffer la chatte de Marie.