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Chapter 19
by Teyla
What's next?
balade en meute
Maîtresse Saochi fit un geste, et Satochi se pencha pour prendre la laisse attachée à mon collier.
- promène là dans le campus désert avec un ou deux garçon chien comme elle si ils veulent la saillir laisse les s'amuser, il te suffira d'enlever le gode ou le plug.
Maîtresse Saochi nous congédia d'un geste alors que Satochi m'emmenait au cheni ou deux garçon avec des colliers furent choisi pour nous accompagner avant qu'à ma grande honte je la suivait dans le campus.
Satochi me tira par la laisse, et je dus trotter pour la suivre, les sensations du gode et du plug vibronant toujours à l'intérieur de moi. Les deux garçons en cagoules nous suivaient à quelques pas, leurs yeux fixes sur moi comme des prédateurs en chasse. Nous traversâmes le campus désert, les seules bruits étant le crissement des bottes de Satochi et le cliquetis des chaînes de ma laisse.
les deux chiens garçons me reniflaient, Satochi s'arrêta en plein campus m'enleva la ceinture gode ainsi que la muselière.
- allez amusez vous avec elle.
Les deux garçons se ruèrent sur moi, leurs mains se posant sur mon corps comme des griffes. L'un d'eux me tournait le dos et me poussait contre lui, son sexe dur pressé contre mes fesses, tandis que l'autre me dévorait la bouche, sa langue s'insinuant entre mes lèvres. Satochi les regardait avec un sourire impassible, son regard glissant sur moi comme si elle me détaillait.
J'étais à la limite de l'extase être ainsi avilie en plein campus risquant d'être surprise à chaque instant quand le garçon derrière moi me pénétra alors que celui devant me présenta son sexe qu'il me fit avaler d'un coup.
La gorge serrée par le sexe de l'un des garçons et saillie par celui de l'autre, je gémis de délice. Leurs bestiailité ne s'arrêtèrent pas là, ils commencèrent à me souffleter et à me griffer mon corps douloureux. Malgré l'humiliation et la douleur, je sentais monter en moi une vague de plaisir qui m'envahissait peu à peu. Les deux garçons semblaient souffrir eux aussi, leurs coups devenaient plus forts, leur haleine devenait plus chaude, et leurs mains de plus en plus possessives.
Quand ils ne mettaient pas assez d'ardeur Satochi utilisait une cravache pour leur donner plus de vigueur.
Les coups de cravache de Satochi claquaient dans l'air, laissant des marques rouges sur les fesses des garçons, mais ils ne semblaient pas s'en soucier, trop occupés à me posséder. L'un d'eux me mordait la nuque, tandis que l'autre me tenait les cheveux, me forçant à avaler son sexe encore et encore. Je sentais mon corps se tendre, prêt à exploser, mais Satochi intervint, sa voix calme et autoritaire.
- Assez.
ils stoppèrent aussitôt me laissant frustrés, elle prit mes cheveux et tourna ma tête pour que je la regarde.
- toi tu vas apprendre à attendre que l'on t'autorise à jouir.
Ses yeux me transperçaient, son regard était aussi froid que la nuit qui commençait à tomber sur le campus. Je sentais son haleine fraîche sur mon visage, mais elle ne semblait pas porter attention à la sueur qui perlait sur mon front. Elle me maintint ainsi pendant quelques instants, comme pour s'assurer que j'avais compris son message. Puis, elle libéra ma tête et me fit signe de me redresser.
Je me mis debout, les jambes flageolantes, tandis que les deux garçons s'écartaient de moi, leurs yeux baissés.
elle sortit deux pinces avec des clochettes avec lesquels elle pinça mes tétons qui par l'excitation se dressaient fièrement.
Les pinces se refermèrent sur mes tétons, les comprimant fortement, et les clochettes émirent un son cristallin qui sembla résonner dans toute la cour. Je ne pus réprimer un gémissement de douleur, mais Satochi ne semblait pas s'en soucier. Elle tira sur les pinces, les faisant cliqueter, et je sentis mes tétons se tendre encore plus. Les deux garçons se rapprochèrent de moi, leurs yeux fixés sur mes seins, leurs regards avides.
Satochi me remit la ceinture gode ainsi que la muselière et nous continuons cette balade accompagné des clochettes qui teintaient au rythme de mes déplacements à quatre patte, me tirant des grimaces et grognement de douleur.
Satochi me fit signe de continuer à avancer à quatre pattes, les pinces aux clochettes tintant à chaque mouvement, les vibrations résonnant dans la cour déserte. Les deux garçons me suivaient, leurs yeux rivés sur mes fesses et mes seins, leurs regards me faisant trembler de honte. La ceinture gode et la muselière m'empêchaient de protester, mais mes yeux suppliaient Satochi de cesser ce supplice.
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