pas de marche arrière

Phil comme désormais je devais l'appeler me présenta la nounou, la cuisinière, et le régisseur du domaine.

• je vous présente mon épouse, j'attends que vous lui obéissiez comme à moi sauf si cela va a l'encontre de mes instructions.

Il se pencha et m'embrassa ce qui me fit rougir.

• Désolé mon ange, il fallait bien une hiérarchisation pour éviter les gaffes.

Je répondis un peu gauchement,

• je ... je comprends mon cœur troublée par ce baisé.

Nounou fay prenez Manon, nous souhaiterions manger seul, je voudrais profiter de mon épouse après ce si long voyage.

Les serviteurs partirent et la nounou emmena la petite encore endormie.

En la voyant s'éloigner je songeais que d'un jour sur l'autre j'étais devenue mère, épouse, soumise et je ne sais quoi encore, ...

Il m'emmena jusqu'à la salle à manger en me tenant par la main soupirant parfois.

Il me proposa mon faune parfait gentilhomme avant de s'asseoir et me regardait pendant que l'on nous servaitet qu'à.d nous fûmes seuls.

-des questions ?

-je dois être Ally tous le temps ?

-oui car tu es mère mais aussi mienne et je te veux ainsi tous le temps que tu passes même ailleurs pour ne pas être trahis.

Il prit ma main et me fit un baise main et me regardant avec un regard prédateur.

• ne te trompe pas j'ai une envie folle de te trousser comme une pute et te marquer les fesses à coups de cravache, mais je goûte ce moment de frustration profite bien, mes réticences ne tiendront pas longtemps donne moi ta culotte pour commencer tu n'en portera plus sauf instruction contraire, je te veux prenable à n'importe quel moment, vite obéis.

Je pâlis et mon appétit s'envola. Je passais mes mains sous mes fesses que levais, descendis ma culotte jusqu'à mes chevilles avant de me relever en lui tendant tremblante et émoustillée à ma surprise.

Il prit ma culotte qu'il sentit longuement avec un air connaisseur, il paru surpris en soulevant un sourcil.

• très jolie culotte en dentelle fine, tu étais prête a tout en plus ce qui est étonnant c'est que ton odeur est similaire et un peu humide cela promet tu es réceptive.

Il baisa à nouveau ma main et laissa ma culotte sur la table bien visible, j'étais morte de honte quand la cuisinière nous apportait les plats et qu'elle ne pu s'empêcher de rougir en la voyant, je baissais la tête.

A part cette honte il fut charmant, spirituel pendant tous le reste du repas, à la fin de celui-ci il reprit son sérieux alors qu'on lui servait un café et un déca pour moi. Je vous dois quand même un dernier point, pour comprendre ma colère et ce qui arrivera, je vous invite à lire ce papier, excusez moi si il es en mauvais état et rafistolé mais il a focalisé beaucoup de haine car c'est la lettre de départ de mon épouse.

Je lis et je compris le pourquoi dans cette lettre elle l'insultait sur sa faiblesse, son peu de masculinité, sa lâcheté sa mièvrerie elle ne supportait plus d'avoir une "lopette" qui n'avait pas de "couille" elle préférait partir avec un homme un vrai qui saurait être un père pour Manon et le fils qui arrivait ainsi qu' à la combler sexuellement.

je lisais d'une traite le regardant ce texte était d'une telle ****, elle l'avait humilié à un point qui ne pouvait aboutir qu'au pire, mais en plus en partant son fils à naître était mort en son sein, je ne l'excusais pas mais je comprenais ses raisons par contre qu'il se venge sur moi parce que je lui ressemblais était profondément injuste tout aussi injuste que cette lettre.

• vous comprendrez que j'ai décidé que ces points qu'elle me reprochait serait désormais oublié, oblitéré, je ne ferais plus jamais preuve de faiblesse qui pourrait me valoir ainsi un tel drame chacun à sa place je serait le mâle dominant point barre.