On ne va pas se gêner!

Si ma fille était plus jeune je l'emmènerais à Disneyland, comme elle est grande je l'emmène en partouze, c'est aussi simple que cela! Il y a près d'un an que je n'y suis pas revenue, mais les tenanciers du club se souviennent du nom d'Edith, sinon du mien, et ne font aucune difficulté pour m'admettre avec ma fille. Christine et moi effectuons une entrée remarquée, portant des robes identiques: à motifs panthère, très courtes, très moulantes et très décolletées, avec en dessous des bas, un porte-jarretelles, un string, pour moi un soutien-gorge laissant les seins nus, et pour Christine pas de soutien-gorge. Notre ressemblance physique n'échappe à personne.
"Tu crois que ce sont les deux soeurs?" chuchote une voix derrière nous. Voilà quelqu'un de galant!
"Plutôt la mère et la fille." répond une autre voix. Voilà quelqu'un d'honnête! Il y a de la musique, Christine et moi commençons à danser un slow torride, en nous bécotant et en nous pelotant sans arrêt, qui semble laisser à beaucoup de participants des doutes sur notre lien de parenté. Lorsque la musique s'arrête, je mordille une dernière fois les lèvres de la fille et, la laissant chercher des partenaires de son côté, je vais m'asseoir à demi sur le bar, en promenant un regard de défi sur l'assemblée. Pas moins de trois hommes relèvent le gant et s'approchent de moi. Je m'accroupis devant eux, offrant sous ma petite jupe une vue imprenable sur mes jarretelles et mon string qui ne cache pas grand-chose. Trois bites déjà raides sortent de leurs braguettes et je commence à branler et sucer à qui mieux mieux. Un quatrième larron se couche sur le dos et, dans une position qui n'est pas sans rappeler celle du garagiste en train de trafiquer sous une auto, glisse sa tête et ses mains sous moi, écarte mon string et commence à me languer la chatte. Les trois mecs de devant font passer ma robe par dessus ma tête, je me retrouve à quatre pattes et celui de derrière m'enlève complètement mon string et se met à me baiser comme une chienne. Un des trois types que je pompais s'écarte de moi, je suis un peu vexée mais me rends compte que ça ne sort pas de la famille, puisqu'il se dirige vers ma fille qui elle aussi est en train de se faire enfiler en levrette, penchée en avant et appuyée à une table. Elle se penche un peu plus et lui gobe son gland, toute à ce spectacle j'ai à peine senti la bite qui me tronchait - avec préservatif, je vous rassure - ressortir de mon minou, et soudain je la sens qui me rentre dans le cul. Un des deux autres types se couche à son tour sur le dos et m'attire vers lui, je m'empale et le chevauche avec toujours la bite de l'autre dans le petit trou et le troisième que je continue à sucer. Mes trois chevaliers atteignent l'orgasme avec moi, dès que je suis un peu remise je jette un oeil vers ma fille qui est maintenant en train de se faire sodomiser tout en continuant à sucer l'autre gars, sans arriver à s'en mettre beaucoup dans la bouche car l'engin est de taille considérable même pour une pipeuse experte comme elle. Je décide d'aller lui donner un coup de main (enfin, un coup de langue), je m'approche d'elle, m'accroupis et prends ma part du mandrin du gars, tout en bisoutant ma fille au passage et en lui pelotant les seins presque complètement sortis de son décolleté.
Elle me dit "maman, je voudrais bien que tu me bouffes la moule", ce qui au passage ne laisse plus aucun doute aux mecs sur notre lien de parenté. Du coup, ils s'écartent pour voir la mère et sa fille se gouiner entre elles, je me penche pour lui téter les seins tout en branlant sa chatte déjà bien humide d'avoir été tronchée, je m'accroupis devant elle pour filer quelques coups de langue dans sa crème tout en lui doigtant le cul, puis je lui dis de se coucher sur le dos par terre et je me mets sur elle en soixante-neuf. Pendant qu'on se dévore nos chattes, que je lui titille le clito et qu'elle m'enfile sa main toute entière, deux mecs en profitent pour venir nous sodomiser toutes les deux. Voyant qu'on va jouir entre femmes, ils se retirent de nos culs, se relèvent et ôtent leurs capotes pour nous asperger de sperme. Les trois autres, qui nous entouraient en se branlant, en font autant et on se retrouve moi et ma fille, assises par terre, essoufflées, moi en soutif seins nus, bas, PJ et escarpins, elle avec sa robe retroussée sur ses hanches et les tétons à l'air, la chatte et la rondelle encore rouges et la figure, les cheveux, les seins, les vêtements et sous-vêtements dégoulinants de sperme.
Nous sortons des douches de l'établissement, un peu rajustées - pas moyen de retrouver nos strings, quelqu'un a dû les garder en souvenir, tant pis, on reste la foufoune à l'air sous nos minijupes - quand un homme d'allure distinguée, aux cheveux grisonnants, que je ne me souviens pas d'avoir vu se mêler à l'orgie, s'approche et nous tend sa carte. Il a apprécié nos prestations, et se déclare prêt à nous payer une somme conséquente, si nous acceptons d'être ses esclaves soumises l'espace d'un week-end.