Le rejoindre?

Cessant de me caresser pour prendre mon courage à deux mains, je me lève, sors de ma chambre et me dirige à mon tour vers la cuisine. Gagné: Vincent est bien là, uniquement vêtu de son pantalon de pyjama. Il a ouvert le frigo pour se servir un verre, et se retourne en m'entendant approcher. Son regard s'attarde sur mon corps révélé par la nuisette translucide qui descend à peine plus bas que mes fesses.
"Vous aussi," (même si nous nous appelons par nos prénoms, nous nous vouvoyons) "vous avez du mal à dormir?"
"Oui. Puisque le frigo est ouvert, servez-moi un verre, s'il vous plaît."
Il me verse le même verre que pour lui (du lait: mon gendre est un homme sobre), je le bois, me lèche les lèvres, me rends compte que ce simple geste semble l'impressionner. Son érection devient bien visible sous son pyjama. Il se rapproche de moi, j'ai à peine le temps de poser mon verre sur la table qu'il m'embrasse, me fouille la bouche avec sa langue, en même temps qu'il retrousse ma nuisette et qu'un de ses doigts pénètre mon intimité déjà humide. A mon tour, je glisse la main dans son pantalon et empoigne le sexe qui faisait jouir ma fille quelques minutes auparavant. Je commence à le branler très doucement, puis m'agenouille devant lui. Sans que mes yeux ne quittent les siens, je prends d'abord son gland entre mes lèvres, puis me l'enfonce plus profond dans la bouche, le suce jusqu'à ce qu'il soit près de l'orgasme. Il en veut plus, me fait me relever, me retourner, me courbe en avant sur la table de la cuisine, appuie ses mains sur mes reins pour que ma chatte soit bien disponible, et m'enfile jusqu'au fond. Je jouis presque tout de suite, ce qui ne l'empêche pas de continuer à me pilonner, j'ai envie de sentir son sperme en moi mais il se retire soudain, et avant que j'aie pu protester présente son gland à l'entrée de mon anus. Heureusement, Paul et Carlo, sans parler des godemichets d'Edwige, m'ont rompue à ce genre d'exercice! Il me bourre maintenant le cul en me pelotant les seins à travers ma nuisette, gicle dans mon petit trou, me fait jouir à nouveau, me lâche en me laissant à plat ventre et pantelante sur la table. Je me retourne lentement, me laisse glisser aux pieds de Vincent, et, ce que je n'avais jamais fait à aucun homme, reprends en bouche ce sexe qui vient de me ramoner le cul pour le nettoyer soigneusement.
Sans un mot, nous regagnons chacun notre chambre.
Et demain soir, nous sortons danser pour le réveillon...