Oui!

Je tourne la tête pour l'embrasser sur les lèvres, nos dents se heurtent, nos langues se mêlent pendant qu'elle fait glisser à terre le peignoir que j'avais enfilé par dessus ma nudité. Je sens mon gendre qui se glisse derrière moi et prend mes seins dans ses mains, tandis qu'Angélique s'agenouille pour poser sa bouche sur ma chatte qui déjà est à nouveau trempée. En un clin d'oeil, nous nous retrouvons dans la chambre, Vincent et Angélique débarrassés du peu de vêtements qu'il pouvaient avoir, ma fille se penchant sur moi pour sucer mes tétons érigés, la langue de mon gendre écartant les lèvres de ma fente. Je ne tarde pas à soupirer, puis à gémir, puis à exploser dans un cri étouffé par la bouche de ma fille qui vient se plaquer sur la mienne.

Vincent continue à profiter un moment de ma chatte, puis suggère:

"Angélique, il est temps que tu aille chercher le gode, si tu veux qu'on puisse enfiler ta mère des deux côtés."

Ma fille extrait du tiroir de la table de nuit l'accessoire que nous avons quelque peu négligé ces derniers jours, et ce n'est certes pas la nuit dernière, entre Marc et Vincent, que nous en aurions eu besoin. Je me laisse docilement tourner sur le ventre, me positionne sur les genoux et les coudes pour trouver la queue de Vincent à portée de ma bouche. Je la gobe pendant que derrière moi, le doigt d'Angélique, lubrifié avec mon propre jus de chatte, s'introduit dans mon anus. Il est bientôt remplacé par le mandrin de caoutchouc, et c'est à ma fente qu'un autre doigt s'attaque, coulissant d'avant en arrière au même rythme que le gode. Je jouis en me cambrant, recevant en même temps dans ma gorge le sperme de mon gendre. Le temps que j'aie repris mon souffle, Vincent me fait remarquer qu'Angélique doit elle aussi avoir sa part, et, voyant que ma fille me sourit, déjà couchée sur le dos et les cuisses écartées, je m'agenouille devant elle et commence à lui manger la chatte. Vincent en profite pour me prendre en levrette, changeant le gode d'orifice et l'enfonçant dans ma fente pendant que sa bite m'encule. Et je jouis une nouvelle fois, tout en faisant crier Angélique sous ma langue.

C'est ainsi que s'établit notre ménage à trois, d'autant plus facilement que quelques mois plus tard, un changement professionnel m'amène à venir habiter en permanence chez ma fille et mon gendre. Dès lors, c'est chaque jour que nous passons des heures à baiser dans toutes les positions imaginables. Les copains de Vincent ont toujours l'air un peu apitoyés quand il leur dit que sa belle-mère habite à la maison. S'ils savaient!

Une nuit où je me suis déchaînée sur la chatte d'Angélique, pendant que Vincent me bourrait le cul, ma fille, essoufflée par l'orgasme, m'attire tout contre elle en murmurant:

"Pour une femme qui va être grand-mère dans quelques mois, je trouve que tu es dans une sacrée forme!"

Je mets quelques secondes à comprendre ce qu'elle veut dire, avant de la serrer dans mes bras, les larmes aux yeux. Apprendre qu'elle va devenir grand-mère est toujours un moment important pour une femme, même si elle vient de brouter la chatte de sa fille et de se faire enfiler par son gendre.

Je sens naître en moi un peu de jalousie pour la grossesse de ma fille, et une idée: avec Vincent, j'ai toujours utilisé un moyen contraceptif. Mais à quarante-six ans, si je veux avoir un enfant de cet homme dont je partage l'amour avec ma fille, c'est le moment, ou il sera trop tard...