Non... heureusement?

Trop essoufflée, et peut-être prise d'un désir inconscient de voir ce qui va se passer, je ne bouge pas et Vincent, car c'est lui, entre dans la pièce pour trouver sa belle-mère assise à la renverse sur le bureau, les seins hors du corsage et la jupe généreusement retroussée sur ses cuisses écartées exhibant sa chatte trempée.

"Simon n'a pas perdu son temps, à ce que je vois," dit-il. Et sans autre commentaire, il s'avance jusqu'à toucher mes genoux, débraguette son sexe déjà bien en érection, me saisit par les hanches et se plante dans ma chatte où le chemin est tout préparé. Je me redresse pour l'enlacer, ma bouche nouée à la sienne, décollant le cul du bureau à chacun de ses coups de boutoir, explosant juste avant qu'il n'expédie son foutre en moi et me laissant retomber assise sur la surface vitrée du meuble, Vincent me retenant de justesse pour que je ne me fasse pas mal. Je n'ai pas encore repris mon souffle que deux hommes, le maître de maison et un autre que j'ai vaguement vu pendant la fête, entrent à leur tour dans la pièce.

"On ne s'ennuie pas, ici," constate le premier.

"Et comment!" approuve mon gendre, je crois même qu'elle en veut encore."