M'attarder dans la salle de bains en compagnie de Mélanie?

Nous sortons de la douche et nous essuyons mutuellement, en prenant tout notre temps, tellement que nous y sommes encore lorsque Jérémie, qui devait s'inquiéter de ne pas voir Mélanie revenir, entre à son tour dans la salle de bains. Il a l'air à peine étonné de nous trouver ensemble.
"Tu vois," lui sourit Mélanie, "j'ai fait connaissance avec ta belle-mère. Tu m'avais excitée en me racontant ce que tu faisais avec elle, alors je me suis dit que je pourrais tenter ma chance aussi."
"C'est donc ça" dis-je à Jérémie, faussement grondeuse. "Tu fais mouiller ta copine en lui racontant comment tu me baises!"
"Il me dit tout et en détail," me glisse Mélanie à l'oreille. "Après, quand je suis seule, j'en rêve en me caressant des nuits entières. Tu sais que tu es en quelque sorte devenue mon modèle? J'essaie de le sucer comme tu le fais toi, de le branler entre mes seins comme tu le fais..."
"Il te manque d'avoir vu le modèle en action," intervient Jérémie d'un ton flatteur pour moi.
"C'est le moment ou jamais de rattraper ça" dit sa copine en me poussant doucement vers lui. Du courage, Marie-Claude, je ne vais pas me dégonfler devant ces garnements qui ont l'âge d'être mes enfants? Je m'agenouille devant Jérémie, sors son sexe de son pantalon, le branle lentement puis de plus en plus vite jusqu'à ce qu'il soit bien raide, me l'enfourne dans la bouche et le suce, ses mains dans les cheveux, jusqu'à rendre tout son sperme dans le fond de la gorge. Assise sur le tapis devant la douche, les cuisses largement écartes, Mélanie se branle à pleine main en nous regardant. Je me relève, vais vers la douche, lève une jambe et la pose sur le rebord pour exposer mon sexe à Jérémie qui s'agenouille à son tour pour me mettre un doigt, puis deux, puis trois, tout en léchant mon clitoris durci. Je suis au bord de l'orgasme quand il se relève, me plaque au mur carrelé de la pièce en se collant contre moi, me prend les fesses à deux mains pour me soulever, me pénètre et me bourre à grands coups rapides. Le contraste du carrelage glacé contre mon dos, du corps brûlant de Jérémie par devant et de sa bite qui me défonce me font exploser: je jouis avant lui, retombe sur mes pieds en chancelant, m'effondrerais par terre s'il ne me retenait pas dans ses bras.
"Il ne manque plus que son cul" dit Mélanie, qui ne nous a pas quittés du regard tout en continuant à se masturber.
J'ai un bref sursaut: c'est la première fois que j'offrirais cet orifice à mon beau-fils. Il a l'air inquiet:
"Tu l'as déjà fait?"
"Oui, avec ton père."
"Ca t'a plu?"
"J'ai adoré ça." Je n'ose pas ajouter que de surcroît, la bite de Jérémie étant plus petite que celle de Bertrand, elle devrait passer encore plus aisément. "Et toi, tu l'as fait?"
"Oui, avec Mélanie."
"Je sais, je vous ai entendus dans ta chambre." Mélanie m'adresse une grimace tandis que je me retourne, me penche en avant, les deux mains appuyées au mur: "Eh bien, il te reste à savoir si mon cul est meilleur que le sien."
Il écarte mes fesses, introduit son index dans mon petit trou, le sent encore un peu contracté. En expert, il retire son doigt, prend une bouteille de gel de douche, et c'est un index enduit de liquide crémeux qui revient dans mon anus pour le lubrifier. je l'incite à me pénétrer, sa bite me remplit jusqu'au fond, et ça y va comme par devant. Mélanie ne peut résister à l'envie de s'asseoir à côté de nous et, tout en achevant de se doigter, fourre sa main entre mes cuisses pour me caresser tout en touchant à l'occasion la bite ou les couilles de Jérémie. Nous jouissons tous les trois ensemble, mon cul se sentant rempli du sperme de mon beau-fils.

Jérémie a présenté Mélanie à son père - pas dans les mêmes circonstances qu'à moi, s'entend - et elle fait désormais partie de la famille, au point que Bertrand l'invite à passer quelques jours de vacances avec nous. Mélanie hésite à partir en congé en laissant à la maison sa mère, qui est divorcée depuis quelques mois, s'ennuie toute seule et déprime à mort. Qu'à cela ne tienne: nous l'invitons également! La maison que nous louons est assez grande pour qu'il y ait une chambre pour Bertrand et moi, une pour Mel et Jérémie et une pour Cécile, la mère de Mélanie. Celle-ci ne tient d'ailleurs guère de place: elle est visiblement très affectée par son divorce, et nous l'entendons à peine.
"Elle va finir par se flinguer," me dit Mélanie. "Elle a ton âge, et elle croit que sa vie est finie. Il faudrait lui trouver un homme..."
Cécile est une belle femme de quarante-cinq ans, plus svelte et légèrement plus grande que moi, qui serait vraiment attirante si elle ne faisait pas cette tête d'enterrement. J'ai pu admirer dans sa robe d'été, depuis que grâce à Mélanie j'apprécie plus en détail la beauté féminine, sa silhouette et son buste dignes de ceux de sa fille. Ce qui me donne quelques idées...