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Chapter 5 by zbloutch zbloutch

Que se passe-t-il ?

La statue transforme Marion

Viens à moi

La voix se fit à nouveau entendre dans la tête de Marion. Cette dernière se sentit gagnée par la panique. Elle se retourna vers la porte et se remit à frapper de toutes ses forces.

-Hé ! Je suis coincée ici ! Est-ce que quelqu’un m’entend ?

Ses coups de poing contre la porte restèrent une nouvelle fois sans réponse. Marion se tourna et fit à nouveau face à la statue. Cette dernière n’avait pas bougé, mais son érection était toujours pointée sur elle.

Viens, embrasse ton destin

-Quelqu’un me fait une blague, c’est ça ? lança-t-elle à voix haute. C’est une caméra cachée, c’est ça ?

Elle s’interrompit soudain en se rendant compte que ses jambes avaient commencé à marcher lentement, pas par pas, en direction de la statue.

-Qu’est-ce que…

Elle voulut arrêter, mais ses jambes ne lui obéissaient plus. Lentement, elle s’approchait de la statue, sans qu’elle ne puisse rien faire pour l’empêcher. Cette fois, elle se sentit gagnée par la panique pour de bon.

-Je suis là ! cria-t-elle. Vous devez m’ouvrir !

Lentement mais sûrement, ses jambes l’amenaient plus près de la statue, pendant que la voix se faisait à nouveau entendre.

Ne lutte pas, offre-toi à moi.

-Non, articula-t-elle en essayant de reprendre le contrôle de son corps.

Elle arriva enfin à la hauteur de la statue. Ses jambes se dérobèrent soudain sous elle et elle se retrouva à genoux, à quelques centimètres de l’énorme bite.

Accepte mon offrande.

Marion écarquilla les yeux en comprenant ce qui allait se passer. Non ! Elle n’allait quand même pas…

-Non, attendez ! Ne m’obligez pas à…mphhhh…

Comme poussée par une **** invisible, Marion avança soudain sa tête, la bouche formant un O, et enfonça ce sexe profondément dans sa bouche.

-Mmmmmphhh…gémit-t-elle, incapable de se dégager.

Sa tête se mit à faire des va-et-viens, ses lèvres solidement fermées autour de cette verge. Elle sentit les larmes couler le long de ses joues. Pourquoi n’arrivait-elle pas à reprendre le contrôle. Qu’est-ce qu’il lui arrivait ?

Laisse ta vie passée derrière toi, et deviens la personne que tu aurais toujours dû être.

-Umph…umph…umph, parvint seulement à répondre Marion, pompant vigoureusement le membre tendu.

Ce fut d’abord léger, à peine perceptible, puis de plus en plus fort. Marion sentit soudain un picotement dans ses lèvres. Elle n’y fit d’abord pas attention, trop occupée par le fait qu’elle était en train de sucer une statue dans une salle vide et qu’elle était incapable de s’arrêter. Puis elle sentit ses lèvres enfler, doublant, puis triplant de volume. Au bout d’une minute, ses lèvres étaient complètement boursouflées, comme si on y avait injecté une énorme dose de collagène.

-Mmmmh, gémit-elle en essayant à nouveau de se dégager, en vain.

Les picotements gagnèrent ensuite tout le haut de son corps. Elle sentit soudain ses seins plus serrés dans leur soutien-gorge. Elle entendit son soutien-gorge craquer, puis les boutons de sa chemise à carreaux sauter. Ses seins, auparavant un modeste bonnet B, avaient explosé de volume et continuaient à grossir, défiant la gravité. Sans arrêter de pomper, elle porta ses mains à sa poitrine, horrifiée, mais manqua défaillir de plaisir quand elle la toucha. Ses seins, en plus d’être devenus énormes, étaient également devenus hypersensible. Instinctivement, ses mains se mirent à caresser ces nouvelles mamelles, ses doigts s’attardant sur ses tétons durcis.

Marion avait envie de vomir. Cette **** qui la maintenait prisonnière, qui l’obligeait à faire ces choses dégradantes déformait désormais son corps comme s’il était en pâte à modeler. Ses seins avaient à présent des dimensions irréelles. Si elle avait eu le temps d’y penser, elle aurait bien été en peine de savoir où trouver un soutien-gorge suffisamment grand pour les contenir.

Les picotements descendirent alors au niveau de ses fesses, puis de ses jambes. Son pantalon se déchira immédiatement, alors que son petit cul se mettait à enfler, d’abord mince et athlétique, pour atteindre des proportions dignes de Nicki Minaj. Ses hanches s’élargirent également, comme si elles s’adaptaient à l’idée de porter des enfants. Elle se sentit soudain incroyablement excitée à cette idée, comme si l’idée de devenir mère devenait une partie intégrante de son esprit.

-Hmmmm, fit-elle, sur un ton plus langoureux, cette fois, avant de se ressaisir.

Non ! C’était cette **** qui la manipulait. Elle devait résister, elle devait…

Sa culotte se déchira à son tour, cédant sous ses mensurations irréelles qui lui donnaient l’aspect d’une déesse de fertilité. Lentement, elle vit sa main se détacher de son téton droit et se diriger lentement vers son entrejambe dégoulinante. Elle gémit encore une fois quand elle sentit ses doigts entrer en elle comme dans du beurre, et commencer leurs mouvements de va et viens, d’abord lents, puis de plus en plus rapide.

Oublie Marion, tu sais qui tu es vraiment.

Au fur et à mesure que le plaisir montait en elle, Marion se sentit de plus en plus étourdie, comme si sa tête se vidait. Ses connaissances, ses souvenirs, tout ça semblait la quitter. Elle se sentit devenir de moins en moins intelligente. Elle savait qu’elle devait s’en inquiéter, mais il lui était de plus en plus difficile de se concentrer sur autre chose que son plaisir. Ses doigts ramonaient furieusement sa chatte trempée, tandis que l’autre continuait de lui pincer le téton gauche. La bite qu’elle suçait depuis de longues minutes continuait de lui heurter le fond de la gorge de manière répétée sans que cela lui pose le moindre problème.

Dans ses derniers instants de conscience, elle s’efforça de garder le contrôle de son esprit. Non ! Elle était Marion, brillante étudiante, promise à un bel avenir. Elle ne voulait pas disparaître, elle ne pouvait pas. Malgré ses efforts, les changements se poursuivaient. Ses cheveux bruns virèrent au blond platine. Ses doigts étaient désormais manucurés, ses ongles vernis de couleurs criardes. Son visage autrefois élégant était désormais couvert de maquillage vulgaire.

Ce fut à ce moment-là qu’elle sentit son corps tout entier ébranlé par l’orgasme le plus puissant qu’elle ait jamais ressenti. Elle se laissa tomber en arrière en poussant un gémissement à s’en déchirer les cordes vocales, échappant enfin à l’emprise de la statue. Pendant que son corps chavirait de plaisir, elle sentit les dernières bribes de son ancienne personnalité s’effondrer, relégués aux tréfonds de son esprit. Son regard perdit les dernières traces d’intelligence, tandis que ses doigts continuaient de la masturber frénétiquement. Là où se trouvait auparavant Marion, la touriste en quête de savoir, se trouvait désormais une bimbo décérébrée à la libido infinie.

Ce fut à ce moment que la porte s’ouvrit brusquement.

Qui entre ?

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