Il la rend incapable de dire non

-Tu sais c’est quoi ton problème, Jennifer ? Tu es trop distante avec tes fans. Du coup, tu passes pour quelqu’un d’arrogant et ils sont déçus quand ils te rencontrent.

-Qu’est-ce que tu racontes, je…

-La ferme, le coupa John, avant de claquer des doigts. Quand je claquerai une nouvelle fois des doigts, tu oublieras tout de cette conversation, mais mes instructions resteront gravées en toi. C’est clair ?

-Ok, je ne sais pas à quel jeu bizarre tu es en train de jouer, mais ce sera sans moi.

Jennifer fit mine de se lever, mais John l’interrompit :

-Stop ! Reste assise.

Jennifer voulut quitter le fauteuil, mais une **** invisible semblait l’en empêcher. Elle s’appuya sur les accoudoirs, mais ses fesses refusaient de décoller.

-Qu’est-ce que…pourquoi je n’arrive pas à quitter ce fauteuil ?

-Parce que notre rendez-vous n’est pas fini. Ecoute-moi bien. A partir d’aujourd’hui, tu n’es plus capable de dire non à qui que ce soit. Tu es au service de tes fans et de toutes les personnes que tu rencontres. Quelle que soit la demande, si extrême soit-elle, tu ne pourras pas faire autrement que d’obtempérer. Si avec ça, tu ne te rapproches pas de ton public, je ne vois pas ce qui pourrait faire l’affaire.

-Ben voyons, et tu ne veux pas non plus que je…

-Fracasse-toi la tête contre le bureau.

A peine John avait-il prononcé ces paroles que Jennifer se pencha soudain avec une vitesse impressionnante, jusqu’à ce que son nez heurte la table avec une **** inouïe. John entendit un craquement, après quoi, Jennifer se redressa, le visage ensanglanté, une expression ahurie sur le visage.

-Que…comment vous avez fait ça ?

-Simple démonstration. Enfin, inutile d’abimer la marchandise.

John fit un geste de la main et l’instant suivant, le sang disparut du visage de Jennifer et l’os de son nez se remit en place. Elle porta une main tremblante là ou John l’avait malmenée peu de temps avant.

-J’ai hâte de voir ce que ça va donner. Quand un inconnu en convention va te faire des remarques salaces et que tu vas le récompenser en lui taillant une pipe. Ça va faire couler beaucoup d’encre…

-Non, vous ne pouvez pas me faire ça.

-Du calme, je ne suis pas cruel. Enfin, si, mais bon. Voilà qui va te permettre de mieux apprécier cette nouvelle situation.

John se racla la gorge tandis que Jennifer l’observait d’un air effrayé.

-Chaque fois que quelqu’un t’insulteras, tu auras un orgasme. Chaque fois que quelqu’un te frapperas, ou te fera quelque chose de dégradant, tu auras un orgasme, sans que tu puisses l’empêcher.

-Attendez, ne m’obligez pas à…

-Ta gueule, sale pute.

Les mots de John eurent un effet immédiat sur Jennifer. La jeune femme manqua tomber de sa chaise et du se raccrocher au bureau, la respiration haletante, les pupilles dilatées. Elle voulut se lever et partir, mais John reprit la parole :

-Qu’est-ce qui t’arrive, salope ?

Cette fois, Jennifer sentit ses jambes se dérober sous elle et elle tomba à terre, ou elle se tordit en gémissant, son corps en proie à un plaisir presque insoutenable.

-Arrêtez, hoqueta-t-elle.

-Arrêter quoi ? Tu crois qu’un hangar à foutre comme toi peut me donner des ordres.

Jennifer se tordit à nouveau en hurlant à même le sol. Sa main crispée autour de son entrejambe, comme si elle essayait en vain de contrôler le plaisir qui s’y répandait.

-S’il vous plait…

-Allez, je vais être gentil cette fois.

John aida Jennifer à se relever, avant de reprendre la parole.

-Déshabille-toi.

Jennifer voulut protester, mais elle se rendit compte qu’elle en était incapable. Elle vit ses propres mains déplacer les bretelles de sa robe rouge, avant de la laisser glisser le long de son corps. John s’approcha d’elle et dégrafa son soutien-gorge, libérant ses seins fermes. John les palpa longuement, savourant chaque centimètre carré. Jennifer voulait s’enfuir loin d’ici, mais elle était comme paralysée.

-Allonge-toi sur le bureau.

Jennifer obtempéra, se couchant sur toute la longueur de la table. John s’approcha et retira sa culotte trempée. Il croisa le regard terrifié de Jennifer et sourit :

-Ouvre la bouche.

Jennifer obéit et John en profita pour fourrer la culotte dans la bouche de sa propriétaire. Cette dernière eut un haut le cœur, mais ne pouvait rien faire pour l’enlever.

-Maintenant, écarte les jambes.

Les jambes de Jennifer s’ouvrirent soudain pour John, lui offrant la chatte humide de l’actrice.

-Hi…hou…hlé, tenta d’articuler la starlette, sa culotte encore dans la bouche.

Ignorant cette supplique, John sortit sa bite et l’approcha de l’actrice. Il fit mine d’hésiter quelques instants, et il vit une lueur d’espoir apparaître dans les yeux de Jennifer. Finalement, il entra brutalement, arrachant un long gémissement à Jennifer.

-C’est parfait, souffla-t-il. Tu es déjà tellement mouillée que je n’ai rien à faire.

-Aaaeuugh…gémit Jennifer sur un ton saccadé, rythmé par les va et viens de John, tandis que les larmes apparaissaient sur ses joues.

-Ta gueule, grogna John, ses ongles enfoncés jusqu’au sang dans les hanches de Jennifer.

Les vingt minutes qui suivirent, John continua de baiser violemment ce corps désiré par des millions de gens à travers le monde, indifférent aux suppliques de Jennifer. Quand il éjacula enfin, il se contenta de se retirer et de se rhabiller, avant de s’installer à nouveau dans son fauteuil.

-Bon, revenons aux choses sérieuses. Rhabilles-toi.

Reprenant son souffle, il s’amusa à regarder Jennifer ramasser maladroitement ses vêtements en s’efforçant de retenir ses larmes.

-Plus vite, putain ! Je n’ai pas que ça à faire.

Jennifer accéléra, tremblant de peur devant celui qu’elle prenait encore de haut une demi-heure auparavant. Quand elle fut enfin habillée, John lui fit mine de s’asseoir.

-Comme je l’ai dit, dès que j’aurai claqué des doigts, tu oublieras tout ce qui s’est passé ici. Tu te souviendras juste avoir eu un entretien qui n’a mené nulle part, et tu repartiras. Mais à partir de maintenant, tu seras l’esclave du premier venu qui te donnera des ordres.

Joignant le geste à la parole, John claqua des doigts. Immédiatement, la peur, la souffrance et le dégoût disparurent du visage de Jennifer et l’actrice retrouva son expression agacée et maussade qu’elle arborait à son arrivée dans le bureau.

-Bon, et bien merci pour rien, j’imagine. J’aurais dû savoir que vous alliez me faire perdre mon temps.

-Je suis navré mademoiselle Lawrence, fit John en réprimant un fou rire. Puis-je vous proposer un autre de nos services peut-être ?

-Non. Vous allez sûrement encore dire de la merde et me faire perdre mon temps. Je ne vais pas rester plus longtemps.

-Très bien, mon assistante vous guidera vers la sortie. Bonne journée à vous.

John regarda Jennifer quitter la pièce, un sourire aux lèvres. Il avait bien l’intention de suivre sa carrière avec le plus grand intérêt désormais.