Elle va au plus près.

Lucile se rend au logement voisin et sonne à la porte:

Diiiiing !

Elle attend, pantelante, qu’on vienne lui ouvrir. Elle mourrait pour qu'une bonne bite vienne la fourrée, là, maintenant.

Finalement la porte s’ouvre. Une femme.

« Votre mari ou votre copain est ici ? demande immédiatement Lucile.

— Euh oui. Fred tu peux venir ? Il y a la voisine ici… »

Un homme arrive, il n’est pas très séduisant, un petit blanc de trente ans. Roux, avec un bouc et une raie. Mais ces détails importes peu pour Lucille, ce qu’elle veut, c’est un porteur de couille qui puisse la faire jouir. Elle doit même se retenir pour ne pas lui sauter dessus ; il y a sa petite amie à côté quand même.

« Suis-moi ! J’ai besoin de l’aide d’homme. Pour euh... Un problème de plomberie, dans la cuisine. »

Et elle repart sans un mot, ne voyant pas les visages sidérés du couple face à son aplomb.

« Qu’est-ce que je fais ? demande Fred à son amie.

— Ben heu… Tu n’as qu’à l’aider pour ses tuyaux… Et heu… S’il y a un problème, crie. Elle a l’air bizarre, c'est peut-être une droguée. »

Fred entre dans l’appartement de Lucile, un peu méfiant. Il se dirige vers l’évier de la cuisine, et ne constate rien de particulier. Aucune fuite, les éviers ne sont pas non plus bouchés… étrange…

« Euh… Mademoiselle, je ne vois pas vraiment le problème.

— Tu vas voir le problème. »

Et Lucille soulève sa jupe pour lui montrer sa fente coulant de jus.

« Tu vas me baiser maintenant ! J’ai besoin qu’on me fourre le manche dedans et vite… Ou je te transforme en grenouille.

— Écouter, je crois que… »

Lucile n’a pas envie d’écouter plus longtemps les jérémiades de ce pauvre type. Elle lâche un sortilège qu’elle avait mémorisé :

****Sulp eguob eN !****

Fred se rendant compte du guet-apens, certes sexy mais guet-apens quand même, commence à partir. Mais chaque pas, il lui semble déplacer une tonne avec lui, et ça empire ; marcher devient infernal et alors qu’il arrive devant la porte d’entrée, il est incapable de faire un pas de plus, ou même de lever la jambe.

Lucile attentait que l'enchantement fasse son effet à plein. Elle le renverse alors par terre. Elle déboutonne son jean, arrache son boxer pour voir enfin le chibre promis et tant attendu. Il n’est pas si gros que ça, mais ça fera bien l’affaire. Au moins il bande. Elle chevauche le pauvre homme paralysé, sa chatte débordant de jus s’enfonce sans la moindre difficulté sur la bite. Elle bouge son bas-ventre, elle se touche les seins, débordant d’extase. Elle n’a jamais été aussi en chaleur de sa vie, elle perd le contrôle de ses actes se sentant remuer des reins comme la pire des salopes nymphomanes…