Elle n'aime pas trop ça...

« Tu as compris Sophie ? Tu vas aller avec ce gentil Monsieur, et faire ce qu’il te demande.

— Mais… Mais il veut me baiser !

— Eh bien oui, tu es très jolie alors c’est bien normal.

— Je… je ne veux pas, c’est hors de question ! Je ne suis pas une pute ! »

Julie claqua sa fille.

« Je me suis montrée gentille avec toi, mais maintenant il va falloir m’obéir sans discuter. Si je te dis te lui sucer la bite tu la lui suces. Si je te dis d’ouvrir les jambes pour qu’il te fourre, tu encaisses en souriant !

— Mais… »

Sophie se mit à pleurer. Elle ne comprenait pas pourquoi sa mère l’obligeait à se prostituer. Elle n’était pas une méchante fille, ils avaient un peu d’argent, et voilà que sa mère ne la considérait plus que comme une pute, à devoir faire le tapin pour rapporter des sous… C’était tellement inimaginable... Elle se sentait honteuse, dégradée, traitée injustement.

Elle reçut une autre claque.

« Bien, Monsieur, vous pouvez y allez. Si elle ne se montre pas docile, donnez-lui des claques, il faut qu’elle comprenne sa place. »

Julie était désolée de devoir infliger ce traitement à sa fille, mais si celle-ci ne se montrait pas obéissante et refusait sa prostitution, elle serait envoyée au bordel, et il fallait éviter ça à tout prix.

L’arabe pris Sophie par la main, elle se laissa faire. Elle était trop abasourdie pour réagir autrement. Entrés dans la petite chambre, l’arabe lui dit :

« Pose main sur le lit ! »

Ne comprenant pas bien, mais se soumettant au basané, elle se tourna et prit appui sur le lit. Elle comprit alors très bien la suite, elle sentit que l’arabe lui relevait la jupe, glissa une main dans sa culotte pour tâter sa chatte.

Son dessous fut tout de suite après retiré. Elle entendit derrière elle un pantalon tomber sur le sol, et alors qu’elle avait le cul relever, un sexe bien dur frotta contre sa chatte vierge avant de s’engouffrer dedans.

Sophie serra les dents. Elle n’aurait jamais imaginé que pour sa première fois, elle serait vendue par sa mère pour une centaine de dinars à un arabe qui la prendrait par-derrière.

Celui-ci donnait des coups de queue bien sentis, ravi de baiser cette chienne blanche qui faisait sa mijaurée. Elle pleurait quand on lui demandait de baiser un arabe ! Quelle vraie pute ! Il pouvait d’ailleurs l’entendre se remettre à pleurer, il ne lui donna pas de claques, savoir que cette pute de blanche se sentait humiliée comme une chienne lui donnait une trique d’enfer.

Il accélérait le mouvement donnant des coups de queue de plus en plus violents, Sophie fut obligée de desserrer les lèvres pour hoqueter sous la brusquerie des pénétrations.

Pendant que sa fille se faisait prendre en levrette par le premier venu, Julie était repartie dans la rue plus animée, elle cherchait un client pour Kim. Si elle voulait arriver aux cinq milles dirams avant la fin de la journée, ses filles allaient devoir se mettre au tapin à plus grand train et arrêter de rechigner.