Elle attrape le bus

Le chauffeur peine à y croire. Une jolie blonde court pour parvenir à l'arrêt à temps, une étudiante qu'il croyait pourtant sage. Mais, comme la plupart des hommes assis ou debout dans le bus, il voit très bien la généreuse poitrine se balancer en tous sens alors qu'elle approche, le souffle court. Il ne peut s'empêcher de l'admirer quand elle monte enfin.

"Merci de m'avoir attendue !"

Il ne peut répondre, son regard rivé sur les seins qui tendent le tissu, les mamelons quelque peu érigés. Elle se dirige difficilement un peu plus loin, l'autobus étant bondé, frôlant quelques hommes qui semblent prendre un malin plaisir à se frotter contre elle. Enfin, elle s'installe, déposant son sac à terre en s'assurant de bien montrer son cul aux gens alentour, les regardant ensuite en souriant.

Quelques instants plus tard les mouvements saccadés du bus la repoussent contre un homme, derrière elle, et elle le sent la prendre par la hanche pour ne pas tomber. Elle s'apprête à se tourner pour lui dire de la laisser quand elle sent son souffle chaud contre son oreille.

"Je suis sûr que tu aimes te frotter contre des hommes dans les autobus..."

Un grand frisson l'envahit, et elle ne bouge pas, acquiesçant seulement de la tête.

L'homme, âgé d'environ cinquante ans, est surpris de la réaction, mais se reprend vite et la caresse un peu plus.

"Tu es une petite cochonne dans les autobus...c'est tellement vicieux !"

Elle se colle un peu plus contre lui, le laissant faire quand il prend sa main droite pour l'amener dans son dos. Elle comprend le message et descend à tâtons la fermeture-éclair du jeans de l'homme, fouillant ensuite dans la braguette pour empoigner le pénis en érection. Elle a le souffle court alors qu'elle touche une bite inconnue pour la première fois, appréciant la douceur, la chaleur, avant de commencer à le masturber, devinant instinctivement les mouvements à faire. Elle le sent remonter sa jupe pour cacher sa main et ce qu'elle fait, frottant un peu l'engin contre ses fesses.

"Je suis sûr que tu aimes te faire parler comme ça aussi...ça t'excite de te faire traiter de tous les noms..."

Elle gémit en accélérant le mouvement de sa main, le souffle de plus en plus court alors que l'homme, lui, émet d'étranges bruits.

Autour d'eux, certains passagers remarquent qu'il se passe quelque chose d'inhabituel, mais l'humanité est ainsi faite que personne n'ose réagir d'aucune façon. Ceux installés de côté voient la main s'activer, alors que ceux devant eux ne voient que le visage de la blonde, yeux fermés, les mamelons de plus en plus proéminents.

"Petite salope..."

Elle ouvre les yeux pour voir un homme, devant elle, qui vient de lui lancer l'insulte, mais ne répond pas, de nouvelles sensations assaillant son corps.

"Fais-moi venir sur ton cul, ma cochonne..."

Elle gémit presque en l'entendant, sentant bientôt les jets chauds sur sa culotte, l'homme reculant quelques instants plus tard, assouvi.

Quand elle regarde dehors, elle s'aperçoit qu'elle est presque rendue à destination, et se penche pour prendre son sac, offrant à tous les passagers derrière elle la vue de sa petite culotte, striée de sperme. Elle se dirige vers la porte, et descend, lançant un dernier regard vers les hommes qui l'entouraient, voulant s'assurer qu'elle les a bien fait bander.

Une centaine de mètres plus loin, elle voit enfin l'école.