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Chapter 46 by nilmerus nilmerus

What's next?

De nouvelles possibilités.

Arca était restée un temps auprès de John, finissant par repartir à regrets pour discrètement préparer son arrivée au château.

L'homme s'était levé assez tôt, profitant que la plupart des clients dormaient encore pour s'accaparer les bains de l'auberge avant de se diriger vers la même table que le soir précédent, attendant qu'on vienne s'occuper de lui en lisant tranquillement l'un des nombreux ouvrages découverts parmi les trésors de la dragonne.

*Je me demande ce qu'elle devient...* pensa-t-il un instant, pouffant en l'imaginant se tortiller dans son supplice érotique.

"Bonjour Monsieur. Seriez-vous tombé du lit?"

Saluant joyeusement le mage, Goldy lui offrit une bien jolie vue de grand matin, la tenancière parfaitement apprêtée tout aussi belle le matin qu'elle l'était le soir.

"Je craignais surtout de ne pas pouvoir goûter à votre cuisine. Si le déjeuner est à la hauteur du souper, j'en salive d'avance." la salua-t-il en retour, d'une excellente humeur.

"Décidément, vous et vos amis avez la flatterie facile. Je vous ai vu manger hier, laissez-moi vous préparer de quoi vous remplir le ventre, mon beau..." le taquina Goldy avant de lui tourner le dos, lui offrant une agréable vue sur son fessier rebondit et l'arrière de son dos partiellement dénudé sous sa tunique.

"Un matin qui commence fort bien..." soupira l'homme, bienheureux.

Prenant patience en parcourant les pages du grimoire, il ne releva la tête que lorsqu'il entendit les entrechoquements des différents plateaux arrivant dans sa direction.

Buttercup, portant un nombre impressionnant de différentes victuailles, approchait à grandes enjambées de la table, visiblement pressée.

"Votre déjeuner, Monsieur!" annonça-t-elle avec entrain.

Poussant son grimoire sur le côté, John libéra l'espace devant lui pour que la demoiselle puisse y installer ce qui s'avéra être une espèce de version fantaisiste et sur-vitaminée d'un déjeuner anglais.

Du pain à la croute dorée, une omelette faite à partir d'œufs verts, ce qui surpris tout-de-même un brin le voyageur, de la soupe, une espèce de bacon grillé, des haricots et, pour faire passer le tout, un jus de raisins dans lequel avait été diluée quelques goûtes d'un miel très doux.

"Vous me gâtez, c'est vraiment là un simple déjeuner dans votre auberge?" s'étonna l'homme.

"He bien, pour être tout à fait honnête...pas vraiment. Maman est une très bonne cuisinière, mais on nous a demandé de faire particulièrement attention à vous traiter de la meilleure des façons...par Dame Arca." expliqua la demoiselle, un petit sourire pincé aux lèvres, comme si elle hésitait si oui ou non il était une bonne idée de lui dire tout ça.

"Vous connaissez Arca?"

"Dame Arca est une figure connue du royaume. Une femme du peuple qui s'est hissée au rang de protectrice de la jeune Princesse du griffon, elle est un exemple à suivre. Imaginez notre surprise en la voyant entrer hier soir et...disons que..."

Le rouge monta aux joues de la jeune femme, ce qui donna envie à l'homme de la taquiner un brin.

"Auriez-vous des questions à me poser sur ce qu'il s'est passé dans ma chambre cette nuit, Mademoiselle?"

Virant pivoine, la fille d'amazone ne put s'empêcher de vivement secouer la tête de gauche à droite, agitant sa chevelure qui se souleva un instant.

"!!!!"

Aplatissant rapidement sa mèche devant son visage, elle tourna les talons, mortifiée.

"V...veuillez m'excuser! Je vous souhaite un bon appétit!" bredouilla-t-elle en s'éloignant rapidement.

Ne la retenant pas, John commença à déguster l'excellent repas, songeant à ce qu'il venait de voir.

*Pauvre fille...je me demande si...*

Pour une fois plus intéressé de pouvoir aider la demoiselle plutôt que de la conquérir, il ne pouvait s'empêcher de penser au visage de la blonde, dont la partie normalement cachée par sa chevelure était affreusement mutilée, ravagée par ce qui devait être de l'acide ou un autre produit du genre, sa chair à mi-chemin entre la cire fondue et le cuir brûlé perçant le cœur de l'homme qui ne supportait pas qu'une jeune femme si belle soit à ce point enlaidie par le destin.

Il mangea avec plaisir, songeant à ce qu'il lui était possible de faire, et comment le proposer à la concernée sans se montrer trop indélicat.

Ce fut Goldy qui vint débarrasser sa table, visiblement moins enjouée qu'avant, mais tout-de-même polie et souriante.

"...Je vous prie de m'excuser auprès de votre fille, Goldy. Je crains de l'avoir mise mal-à-l'aise sans le vouloir." s'excusa l'homme.

"Ne vous en faites pas, Monsieur. Butty est...ce n'est rien..." soupira-t-elle.

Profitant qu'ils étaient seuls, il se permit un peu de curiosité.

"Sans vouloir me montrer indiscret...que lui est-il arrivé?"

"Je ne pense pas que les malheurs de ma fille soit un bon sujet de divertissement, Monsieur."

Secouant la tête en défense, l'homme poursuivit.

"Je ne me permettrais pas, sincèrement. Votre fille et vous-même avez été des hôtes sans commune mesure. Ma curiosité est sincère et sans malice, vraiment." assura-t-il.

Soupirant, Goldy s'assura qu'ils étaient bien seuls avant de poursuivre.

"...C'était un accident. Un alchimiste faisait l'inventaire de ses potions. Butty s'occupait du service, elle est tombée et un acide puissant lui a coulé sur le visage. Les prêtres sont parvenus à sauver son œil et son oreille mais..."

Essuyant une larme de son tablier, la mère aimante acheva rapidement son histoire.

"Les Dieux sont parfois bien cruels...priver ainsi une si gentille fille de sa beauté, elle qui n'a jamais été qu'un ange...elle a honte de son visage...pauvre enfant..."

"Je suis désolé...mais...les prêtres ne peuvent-ils rien pour elle? J'aurais pensé que de la magie de soin..."

"L'acide était trop puissant. J'ai déjà de la chance d'avoir encore ma fille, Monsieur. Le seul moyen de guérir son visage serait de mettre la main sur une potion de soin des blessures graves, voir mortelles. Ce genre de potion est pour ainsi dire introuvable, et je ne vous parle même pas du prix qu'elles peuvent coûter..." soupira la femme, désespérée.

Réfléchissant quelques instants, John sortit l'une des potions de soins 'spéciales' concoctées avec ses fluides et ceux d'Ambre.

"Goldy, je voudrais vous offrir ceci. Je tiens à vous prévenir, je ne saurais vous jurer que cela fonctionnera, mais je ne pense pas que ça puisse lui faire du mal."

"Qu'est-ce que c'est?" demanda la femme, prenant la fiole entre ses doigts pour en examiner le contenue.

"Un genre de potion de soin dont l'efficacité peut varier. On peut la boire, ou l'appliquer directement sur les blessures.

Naturellement méfiante envers l'homme qu'elle ne connaissait pas, l'amazone hésitait.

"Monsieur...sans vouloir me montrer indélicate, j'ignore tout de vous. Si la situation de ma fille est malheureuse, vous comprendrez que je ne puis lui faire avaler n'importe quel produit sans savoir ce que cela pourrait lui faire."

"C'est tout à votre honneur. Prenez ceci comme un cadeau, libre à vous d'en faire ou pas usage, Goldy. Je vous proposerais bien les talents d'une de mes amies en observation, mais si la confiance vous manque en ce qui me concerne, je doute qu'elle puisse faire mieux."

"Pardonnez-moi. Ma fille est ce que j'ai de plus précieux en ce monde, le moindre danger..."

"Je comprends, rassurez-vous. Je n'imagine pas ce qui pourrait arriver à quiconque tenterait de faire du mal à celles que j'aime. Votre fille n'a pas à s'inquiéter, je serai muet à son sujet, Réitérez-lui mes plus plates excuses si je l'ai froissée d'une quelconque façon." conclut John, recevant un signe de tête poli en retour de la mère.

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Une heure ou deux plus tard, une fois que les demoiselles du groupe furent levées et bien nourries, ils partirent tous de l'auberge pour la journée.

Elles s'étaient fait une joie de lui conter leurs exploits de la soirée, le faisant pouffer à un ou deux moments mais, surtout, les féliciter de leur réussite.

"Et maintenant, que faisons-nous?" demanda Giriel.

"Arca doit dors et déjà avoir préparé notre arrivée, et avec le sauf-conduit de la Princesse, on ne risque pas de nous ennuyer pour passer au niveau d'en-haut." expliqua le mage.

"Attends...tu avais ça depuis le début? Pourquoi avons-nous perdu du temps à nous faire examiner hier?!" demanda Samia, curieuse et sans doute un brin mécontente.

"Pour une seule raison: j'étais curieux. Je voulais voir comment ça allait se passer...et puis c'était plutôt marrant de voir leurs têtes, non?"

"Mais tu...t'es un vrai gosse..." soupira-t-elle, poussant un petit cri en sentant la main de l'homme lui claquer les fesses.

"Seulement quand ça m'arrange...c'est quoi cet endroit?"

Coupant par une rue pour gagner du temps, le groupe passa devant l'entrée d'un autre quartier qui, à cet heure, ne payait pas énormément de mine, les dizaines de lanternes, entourant les bâtiments, éteintes lui donnant des airs assez maussades, en rien aidé par les quelques ivrognes qui partaient en marchant difficilement, les effets de l'alcool visiblement toujours bien présent malgré la nuit depuis longtemps terminée.

"C'est le quartier vermillon...des restaurant, des bars, des casinos et des bordels à ne plus savoir où regarder." expliqua rapidement la voleuse, ne cachant pas son petit sourire narquois.

"C'est...pas hyper sexy, comme endroit..."

"On est en plein jour, mon amour. Ce genre d'endroit prend toute sa splendeur une fois que se couche le soleil. C'est le quartier parfait pour s'encanailler un peu une fois la nuit tombée."

"Faudra qu'on y aille absolument!" s'excita Ambre.

"J'allais le dire!" la seconda le mage.

Avec Samia pour les guider, ils ne mirent guère longtemps à rejoindre les grandes portes séparant le moyen-niveau du haut-niveau, un poste de gardes plus impressionnant encore qu'à l'entrée de la cité en protégeant l'accès.

"Raison de votre visite?" demanda le capitaine en charge des lieux quand vint leur tour, bien plus rapidement qu'à l'entrée étant donné l'absence de foule étant autorisée à se trouver là.

"Nous venons rendre visite à des connaissances, oserais-je dire des amies...?" répondit John en tendant le sauf-conduit au gradé qui, le parcourant rapidement du regard, le tendis ensuite à un mage qui en vérifia l'authenticité.

"C'est bon." confirma-t-il simplement.

"La passage vous est accordé, à vous et votre compagnie. Notez que votre passif positif avec la couronne ne vous dispense pas de respecter la loi. Veillez à ne pas semer le trouble, je vous prie..." conclut-il en s'écartant, leur cédant le passage.

"À l'entendre, on jurerait qu'il pense que nous sommes du genre à mettre la pagaille..." sifflota Lin-Lin le plus innocemment du monde.

"Je ne vois pas du tout de quoi tu parles, nous ne sommes que paix, sagesse et bienséance." pouffa Ambre en retour.

"Ce sera le titre de mes mémoires un jour...'Paix, sagesse et bienséance'..." répéta John, amusé.

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Le haut-niveau, comme on pouvait s'y attendre, était d'une splendeur d'un tout autre acabit, chaque maison ou commerce prenant à lui seul l'espace de trois ou quatre maisons d'en-dessous, au bas mots.

"Que de richesse, que d'or et de bijoux..." observait sans se cacher Samia, envieuse.

"Tu baves, ma belle." lui chuchota Ambre.

"Désolée, déformation professionnelle."

Les habitants d'en-haut, mis à part les esclaves bien évidement, étaient eux aussi d'un tout autre genre que ceux d'en bas. Chaque tenue portée ici aurait été d'une valeur suffisante pour nourrir une famille un mois durant. Certains étaient armés, mais la plupart n'étaient visiblement pas taillés pour la guerre, ayant de toute façon un garde du corps ou deux les suivant de prêt, leur permettant d'aller et venir sans la moindre inquiétude et de vaquer, sans empressement aucun, à leur petite vie tranquille.

Les commerces étaient aussi variés qu'au moyen-niveau, mais tous d'une incomparable richesse et doté d'un éventail de choix ahurissant.

Forgeron, tailleur, bijoutier, artistes en tout genre s'étant fait une place dans la haute société, mais aussi des restaurants, café coquets ou pâtisseries proposant des délices que jamais le bas-peuple ne pourrait espérer déguster.

Ici, il n'y avait pas d'employés attrapant les clients à la volée, tâchant de les attirer pour découvrir leurs produits, cela n'était pas nécessaire.

Si possibilité il y avait pour un artisan d'ouvrir ici son commerce, sa renommée était déjà faite depuis longtemps, et il ne tenait qu'à lui de se surpasser pour maintenir son statut et la richesse de sa famille.

Humant l'air, Lin-Lin ferma un instant les yeux, appréciant les différentes odeurs lui parvenant.

"Je sens du miel, du sucre, du lait, des gâteaux venant de par la-bas...mais aussi de la bonne viande, de l'ail, de la soupa crémeuse de ce côté...on pourrait pas...?"

"Lin-Lin, vous avez déjeuné il y a une heure ou deux à peine, calme-toi. J'aimerais qu'on aille d'abord au château, rien ne nous empêche de venir nous amuser ensuite, d'accord?" lui expliqua John, grattant l'arrière des oreilles de l'anikine pour lui redonner sa bonne humeur.

"Mais les patiss.... ôôôô, juste-làààà..." se perdit-elle un instant sous les doigts agiles de son maître, oubliant les odeurs pour mieux apprécier les gratouilles.

Ils cheminèrent tranquillement le long de la route principale, ne s'attardant que peu sur les différentes échoppes et vitrines qui, selon ce qui y était proposé, intéressait plus un membre du groupe qu'un autre.

Finalement, ils arrivèrent à un dernier poste de gardes derrière lequel un immense pont de pierres, entouré des nombreuses tours sur lesquelles patrouillaient des dizaines de soldats, le tout protégeant l'unique accès à la gigantesque bâtisse qu'était le château du griffon, demeure royale des dirigeants du royaume.

On leur autorisa le passage, Arca ayant visiblement grandement facilité leurs échanges avec les gardes.

"Au moins, on peut dire qu'elle a tenu parole. Personne ne nous pose le moindre problème." observa Ambre.

"C'était à espérer, cela était sa seule et unique mission...du moins pour le moment."

"Tu as déjà prévu quelque-chose pour la suite?"

"Oui, mais nous en discuterons plus tard, à l'abris d'éventuelles oreilles indiscrètes..."

"Bonne idée."

Arrivé aux grilles séparant le château et ses jardins du pont, le groupe vit arriver la guerrière semi-orc à leur rencontre, accompagnée d'un groupe de soldats ainsi que de Paron, ce dernier servant visiblement de second en commande à la femme.

"Monsieur Nilmerus. Je suis ravie de vous revoir." commença-t-elle, jouant parfaitement son rôle tel que le lui avait demandé le mage.

"De même pour moi, Dame Arca. Je craignais que mon message se perde avant de vous parvenir, je suis ravi qu'il n'en ai rien été. Bonjour Paron, ravi de vous revoir également...Paron?"

Le guerrier, bien plus que le mage, avait le regard un peu perdu, ses yeux s'étant arrêtés sur Lin-Lin qui, un petit sourire au lèvres, lui fit un signe de main.

"...C'est bien moi." lui indiqua-t-elle, répondant à sa muette question.

"...Comment? Tu...vous...quel changement! On vous prendrait pour une demoiselle de la noblesse." complimenta-t-il avec l'affection d'un oncle pour sa nièce qu'il n'aurait plus vu depuis trop longtemps, accrochant un plus grand sourire encore aux lèvres de la demoiselle qui vint se blottir entre John et Ambre.

"J'ai été bien aidé, ils m'ont permis de devenir une meilleure version de moi-même."

Semblant se rendre compte de sa faute d'étiquette, le guerrier salua rapidement le mage d'un signe de tête.

"Je savais bien que la petite serait entre de bonnes mains avec vous! C'est un plaisir de vous revoir, tout les deux....enfin, les autres aussi même si j'ignore..."

Toussotant avec ****, Arca fit comprendre à l'homme qu'il s'égarait.

"Paron, John et son groupe ont fait un voyage assez long, et sans doute éprouvant. La Princesse sera ravie de les voir une fois que nous serons passés auprès d'Alariel. Escortez-les jusqu'aux salons, nous vous y rejoindrons ensuite une fois que nous nous serons assuré de son état."

"Vous allez pouvoir l'aider? On a plus de nouvelles depuis..."

"En avant, Paron!" le coupa la guerrière, mettant fin à d'inutiles questions.

Questionnant John d'un coup-d'œil, Ambre acquiesça et suivit calmement les soldats avec les autres, laissant le mage seul avec Arca qui, le feu au fond des yeux, semblait n'attendre qu'un geste de sa part pour lui sauter au cou.

"...Est-elle prête?" demanda-t-il simplement en avançant, suivant la guerrière qui tourna les talons pour lui montrer le chemin.

"Oui. J'ai ordonné qu'on ne pénètre dans ses appartements sous aucun prétexte, que j'attendais la venue d'un puissant mage qui pourrait à coup sûr la guérir, mais qu'elle était pour le moment contagieuse. Il faut croire que ma transformation m'a offerte des talents d'oratrice décuplés, personnes n'a osé ne serait-ce que s'approcher de la zone depuis ce matin."

"Maline que tu es...nous sommes loin?"

"Pas trop. Le château est vaste, mais personne ne nous bloquera le passage, rassurez-vous."

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"MmmMmmmmmMmmm!!!!"

Comme le lui avait expliqué Arca, la zone autour de la chambre d'Alariel était pour ainsi dire désert, ce qui ne rendit que plus facile l'application de runes sur la portes et les murs isolant la pièce du reste du château, et ce avant même d'y pénétrer.

L'elfe noire était enchaînée au lit, nue et bâillonnée, avec encore suffisamment de combativité pour se débattre et tuer mille fois le duo entrant dans la pièce d'un regard meurtrier.

"Quel esprit combatif, je suis impressionné." admit John tandis qu'Arca verrouillait la porte.

"Je l'ai nourrie, lavée...je ne voulais pas qu'elle dépérisse." expliqua-t-elle, le regard qu'elle posa sur la femme à mi-chemin entre l'affection et le regret devant la haine qu'elle lui offrait en retour.

"On dirait qu'elle t'en veux beaucoup...j'imagine qu'après ce que tu lui as fait, c'est compréhensible...Et si nous commentions? Il me tarde de revoir la Princesse." Proposa le mage, la guerrière n'ayant pas besoin d'un mot de plus pour l'aider à se déshabiller avant de se mettre elle-même nue, dors et déjà excitée par la suite des évènements dont l'idée faisait se débattre avec désespoir le sombre beauté.

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