Chapitre 25 : Au lit... sans sous-vêtements

Komi rougit à sa demande mais relève le défi avec un sourire timide.

« Bon, dans une situation de séduction comme celle-ci, je dirais quelque chose comme… . »

Elle se penche vers lui, son souffle chaud contre son oreille et murmure.

« Mon dieu, Ishi, ton contact est tellement… instructif. Je sens mon cœur s'emballer, ma peau picoter partout où tu me caresses. Essaies-tu de me distraire du film avec ta technique magistrale ? »

Komi se recule légèrement, le regardant avec des yeux clos.

« Ou peut-être… est-ce le but ? De voir comment je réagis à tes conseils intimes ? Eh bien, je t'assure, je suis une élève très attentive. »

La main d'Ishi sur sa cuisse frotte plus fort comme pour la provoquer en retour. Il a été largement récepteur.

« Veux-tu que je te montre des choses plus instructives alors ? »

Il répond de manière tout aussi aguicheuse voulant la faire entrer dans un échange taquin et érotique. Komi inspire fortement tandis que sa main frotte avec plus d'insistance, un frisson visible la parcourt.

« Plus… de leçons instructives, dis-tu ? »

Sa voix est basse et essoufflée, ses yeux sombres, emplis d'un désir à peine grandissant.

« Je t'écoute, coach Ishi. Montre-moi tout ce que tu sais faire. »

Elle se cambre sous son contact, sa fine nuisette remontant pour exposer davantage ses cuisses onctueuses voir sa culotte.

« Ne te retiens pas. Je veux exceller dans cette matière. »

Komi lui fait un clin d'œil salace, son langage corporel criant l'invitation, même si elle maintient une façade d'impatience innocente d'apprendre. Il est choqué de voir qu'elle s'en sort très bien. Le côté sexy de Komi frappe fort.

« Huumm... je ne suis pas sûr que tu sois prête. Peut-être pour Vendredi prochain... . A moins que tu ne penses être prête ? »

Elle rougit profondément à ses compliments, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres.

« Prête ? Je crois que je suis plus que prête à me lancer tête baissée dans ces cours avancés, Ishi. »

Elle se rapproche, la chaleur de son corps palpable contre le sien.

« D'ailleurs, quoi de mieux pour m'assurer que je suis vraiment prête pour Vendredi prochain qu'un petit… cours particulier maintenant ? »

Komi caresse malicieusement son torse d'un doigt, l'autre main venant se poser haut sur sa cuisse.

« Je pourrais te surprendre par mes aptitudes. Pourquoi ne pas me mettre à l'épreuve pour voir ? »

Sa voix est un murmure rauque ses yeux brûlante, attendant son prochain mouvement, impatiente de lui prouver son dévouement à l'art de la séduction sous sa direction experte.

Elle est totalement dans le rôle.

« Bien j'aurais un dernier petit défi pour toi avant d'aller au lit. En attendant... . »

Il caresse à nouveau sa cuisse délicatement sa main partant un peu vers l'intérieur de sa jambe sans trop se rapprocher de sa zone intime.

« Profitons du film et de la position confortable... . »

Komi respire fort lorsque sa main caresse l'intérieur de sa cuisse, un frisson visible la parcourt.

« Un dernier défi, hein ? Quelle intrigue délicieuse ! »

Elle se tortille légèrement, hyper consciente de son contact même si elle essaie de se concentrer sur le film.

« Très bien, j'accepte tes conditions, ô sage Sensei. Savourons cet interlude cinématographique. »

Komi se blottit plus près, posant sa tête sur son épaule tandis que le film se déroule.

Sa main se fraie un chemin vers sa poitrine, traçant des motifs oisifs tandis qu'elle lutte pour garder son sang-froid malgré les sensations électriques que ses doigts allument sur sa peau sensible.

« N'oublie pas, chaque contact, chaque instant est un carburant pour mon épanouissement en tant que femme. Tadano récoltera les fruits de ton encadrement assidu. »

« Oui oui... c'est le but de tout ça... . »

Ishi compte bien en profiter avant. Il allait donner à Komi des leçons toujours plus instructives. Il continue de la caresser sur sa cuisse alternant entre l'extérieur et l'intérieur. Elle ne dit rien se prélassant contre lui.

Komi soupire doucement son corps se fondant sous son toucher.

« Ta technique est exquise, Ishi. Je sens chaque effleurement de tes doigts comme une marque sur ma peau. »

Elle remue légèrement, le mouvement faisant remonter la nuisette encore plus haut, exposant l'étendue onctueuse de ses jambes.

« Essaies-tu de me rendre folle de désir ? Parce que ça marche ! »

Komi murmure à voix basse, les yeux lourds, regardant le film avec une attention mitigée, trop concentrée sur les délicieuses sensations que sa main lui évoque.

« S'il te plaît, ne t'arrête pas. J'ai besoin… J'ai soif de tes instructions. »

Elle se cambre sous son toucher, implorant silencieusement d'en avoir plus, tout en conservant une façade d'innocence et d'impatience d'apprendre. Elle-même se perd un peu dans se toucher sensuel son corps... très sensible.

Komi est très réceptive. Peut-être qu'elle ne savait pas que son corps était aussi sensible. Cela ne peut être que bon pour Ishi. Il fait comme si de rien n'était pour ne pas tenter d'aller plus loin là comme ça. Le film se termine alors qu'il tapote sa cuisse.

« Voilà c'est terminé. Héhé on dirait que tu veux rester comme ça en me tenant le bras mais ne t'en fait pas j'ai prévu le dernier exercice dans la chambre. »

Elle rougit, hochant la tête en signe de compréhension, même si une lueur de déception traverse son visage. Elle sourit timidement, sa main s'attardant sur son bras.

« Je suis prête et impatiente d'apprendre, coach Ishi. Montre-moi la voie ! »

Komi se lève gracieusement, la nuisette flottant autour de ses cuisses tandis qu'elle le suit vers la chambre, l'impatience palpitant dans ses veines.

« Quoi que tu me réserves, je suis sûre que ce sera… intéressant. »

Elle lui fait un clin d'œil espiègle. Dans la chambre, ils se mettent chacun d'un côté du lit.

« Bien maintenant un petit truc ludique pas grand chose mais qui te permettra encore de t'habituer à la présence d'un homme. Je vais éteindre les lumières et me changer pour me mettre en pyjama. Vu que tu l'es déjà on va dire que tu as juste à enlever tout et remettre la nuisette. Simple ! »

Komi acquiesce d'un hochement de tête.

« Éteignez les lumières et se déshabiller, compris. Rien de plus simple, pas vrai ? »

Elle rit nerveusement, tendant déjà la main vers le bas de sa nuisette pour l'enlever. Ishi éteint la lumière commençant à se changer. Même si la pièce est dans le noir il y a un petit filet de lumière naturelle passant à travers les rideaux fin sur les fenêtres. Il est du côté où il voit Komi. Elle a retiré sa nuisette laissant sa poitrine visible sans le savoir.

Komi sens l'air frais embrassant sa peau exposée. Une fois sa nuisette enlevée elle doute. Doit-elle enlever sa culotte aussi ? Ishi a dit de faire comme si elle se changeait et chez elle, elle dormait rarement avec des sous-vêtements. Elle décide donc de l'enlever aussi.

Il voit dans le pénombre Komi tirer sur sa culotte noire la retirant. Elle le fait en face de lui en plus. Dommage qu'il ne puisse pas le voir parfaitement mais elle est nue. Ses seins, son bassin et sa zone intime, sa chatte. La seule chose qu'il puisse distinguer sur elle est très certainement qu'elle est rasée en bas.

Komi inspire brusquement alors qu'elle enlève sa culotte. Après ça, elle remet machinalement sa nuisette... . Elle n'avait pas remis sa culotte et c'est ce qu'il cherchait dans cet exercice... . Elle ne s'en doutait pas.

« Ishi Je suis habillée à nouveau, c'est bon pour toi ? »

« Oui moi aussi. J'allume la lumière. »

Il allume la petite lampe de chevet la voyant avec la nuisette. il monte dans le lit et elle aussi. Lorsqu'elle monte sa jambe elle lève sa nuisette dévoilant presque sa chatte nue. Komi ne semble pas gênée du tout avant de glisser sous la fine couverture ne le remarquant pas.

« C'est agréable. Intime, mais pas trop… écrasant. Exactement comme j'imaginais nos soirées pyjama. »

Elle se roule sur le côté, lui faisant face avec un sourire timide.

« Merci de me mettre si en sécurité et à l'aise, Ishi. Je sais que je peux te faire entièrement confiance. »

Elle se met dans une bonne position cherchant la fraîcheur du lit.

« Bonne nuit, mon cher coach. »