Céder à son désir!

Devant le silence de son visiteur, Jessica fit une moue vaguement dégoûtée. Elle se redressa, le contourna malgré l'exiguïté des lieux et s'assit posément sur son tabouret. Les yeux grand ouverts de Roger suivaient au millimètre près les ondulations de sa poitrine dodue ; Jessica, habituée à un tel sans-gêne, roula des yeux. "Que me voulez-vous, monsieur ?" demanda-t-elle sur un ton glacial.

Alors qu’elle fixait son visiteur du regard, Jessica haussa les épaules, ce qui fit tanguer sa gigantesque poitrine, et soudain, ce fut trop, trop pour le pauvre lapin incapable de contenir plus longtemps sa libido devant une telle femelle entièrement faite pour exciter le désir masculin. Tout se passa alors très vite : ses grosses mains gantées volèrent à la poitrine qu’il désirait tant, la fit sauter hors de la robe qui l’emprisonnait et ses doigts s'enfoncèrent profondément dans les deux immenses globes de chair moelleuse nouvellement libérés. Jessica poussa un cri de surprise, mais avant qu’elle ne puisse repousser l'assaut, la braguette du lapin explosa sous la poussée irrésistible de son sexe instantanément figé en une érection dure comme le roc. Une verge gigantesque, invraisemblable, une verge de toon excité au-delà de toute mesure jaillit de son vêtement comme si elle en avait été expulsée d’un coup de canon. Elle vint se ficher entre les deux mamelles solidement tenues en place par les mains tremblantes du mâle et son gland bouffi, presque aussi gros que le crâne de la femelle, gorgé de plaisir, s’écrasa contre la figure de Jessica, étouffant ses protestations et projetant sa tête vers l’arrière.

Horrifié par son impardonnable emportement, mais enivré par l’intense jouissance que lui procurait le contact de ces deux éléphantesques mamelles sur son sexe prêt à exploser, Roger couina. Jessica, pétrifiée, incrédule, s’agrippait à deux mains à son tabouret en un équilibre précaire.

Avant que lui ne puisse s’excuser, avant qu'elle ne puisse protester, la porte de la loge s’ouvrit…